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 AVIS A VICTIME - C'est moi Hélène qui ai écrit cet 
avis à victime. En me basant sur mon diplôme de
capacité en droit et sur les divers écrits de l'avocate de l'ami.Vos coordonnées personnelles
 Nom Prenom
 adresse
 no du parquet: Figure sur l'avis à victime
 no d'instruction: Figure sur l'avis à victime
 DateTribunal de Grande Instance de Paris
 Cabinet de M. Le juge d'instruction Jean-Marie D'HUY
 5/7 rue des Italiens
 75009 Paris
 Objet: Constitution de Partie Civile dans le cadre de l'affaire PANORIMMO
 
Monsieur Le juge,Je soussigné, ....(vos nom et prenom), de nationalité ......., né le ......(date 
et lieu de naissance), ...votre emploi, demeurant
 ...(votre adresse), souhaite par la présente, me porter partie civile dans le 
cadre de l'affaire qui m'oppose à, CREATIS,
 PANORIMMO.
 
Je fais partie des victimes de cette société. Voici les faits:Le ...(date de signature de votre contrat), je reçois un démarcheur de la sté 
PANORIMMO (expliquez comment il est venu à
vous). Ce dernier se présente, comme représentant une société me proposant de 
publier des annonces, pour m'aider à 
vendre ma maison.... (Si vous voulez donner des précision sur le bien qui était 
à vendre : maison, appartement...).
 Je signe donc un contrat de prestation de services avec la société PANORIMMO, la 
SA CREATIS et ASSURIMMO.
 
Ces contrats avaient pour objet de financer, par la société CREATIS, la 
diffusion de l'offre de vente sur divers supports par
la société PANORIMMO:- Magazine diffusé en France et au plan international
 - Diffusion sur minitel
 - Diffusion sur Internet (Site Panorimmo.com)
 Ce même jour, le démarcheur me fait signer:
 - Un contrat de prestation de service, auprès de la société PANORIMMO
 - Un contrat de prêt auprès de la SA CREATIS
 - Ainsi qu'une opposition au paiement entre mes mains, de la commission qui leur 
est due, sur le montant de la vente, chez 
le notaire.
 
Les termes du contrat stipulent que je m'engage à verser à la sté CREATIS la 
somme de ...(somme qui vous est réclamée). Et ce, même si la maison n'est en aucune manière vendue par PANORIMMO.
 J'ai vendu ma maison, mais seul, sans aucune intervention de PANORIMMO. Or, le 
contrat impose que je dois rembourser,
dès la vente de l'immeuble effective, la somme d'argent que la SA CREATIS a 
avancé pour moi, par l'intermédiaire du crédit
souscrit auprès de PANORIMMO, à la signature du contrat.
 
Je considère avoir été abusé sur plusieurs points, et donc considérer avec les 
éléments suivants que le contrat est nul et 
ce, depuis le premier jour. Pour me prévaloir de cette nullité, trois points 
sont à soulever:Le premier, sur la violation de la protection des particuliers démarchés à leur 
domicile, le deuxième, sur le vice de 
consentement dont j'ai été manifestement victime, et le troisième point, sur la 
clause potestative contenue dans le contrat.
 - Pour le premier point, constitutif d'une violation de la protection des 
particuliers démarchés à domicile:
 Le prêteur, la SA CREATIS ne m'a pas informé, dans le délai légal de 7 jours 
suivant la signature du contrat, de l'attribution
du prêt. Or, nul ne peut exiger une quelconque contrepartie, avant le délai de 
réflexion:
 Le démarcheur m'a en effet, fait remplir et signer, le jour-même de la signature 
du contrat, un formulaire pré-imprimé d'opposition, destiné à CREATIS, 
ultérieurement, de façon à bloquer le paiement de la prestation de services, 
entre les mains
du notaire.
 
Le mécanisme mis en place par PANORIMMO ET SA CREATIS contrevient ainsi aux 
dispositions d'ordre public du code de
la consommation. 
J'ai demandé au Notaire de passer outre à cette opposition qui est illégale et 
infondée, et de me remettre le prix de vente 
entre les mains, sans l'amputer de la somme réclamée par SA CREATIS. Ma demande 
n'a pas aboutit, alors même que le
comportement de SA CREATIS relève d'un délit pénal.Le système mis en place par SA CREATIS pourrait uniquement s'adapter à la vente 
d'un fond de commerce. Or, je vends
une maison et non un fond de commerce.
 Le contrat est donc, non seulement nul du seul fait de ce premier point soulevé, 
mais en contravention avec des articles des 
codes civils, du code pénal et du code de la consommation.
 - Pour le deuxième point, un dol, ou vice du consentement est relevé sur des 
éléments dont l'ambiguïté prête à confusion:
 La connivence existant entre SA CREATIS, PANORIMMO, et ASSURIMMO, n'est pas 
clairement établie, puisqu'un seul
représentant, pour les trois sociétés se présente aux particuliers.
 Les rapports juridiques entre les parties sont alors représentatifs d'un dol sur 
les qualités substantielles.
 La mise en erreur consiste à faire croire que PANORIMMO agit comme une agence 
immobilière. Et ce, en violation des
règles régissant les rapports entre les agents immobiliers et leurs clients 
(mandat écrit limité dans le temps, bons de visite)
 PANORIMMO se bornant à diffuser une annonce pour le moins restreinte.
 
De plus, cette société PANORIMMO, n'est pas une agence immobilière, elle ne peut 
donc prétendre à une quelconque
commission. 
Les seuls frais engendrés par la parution de cette annonce, sont ceux de la mise 
en place d'une annonce sur Internet.Le service offert ne justifie donc en rien le montant de la facturation 
demandée.
 D'autant plus, qu'une fois le contrat signé, et alors même que le bien sera de 
toutes façons vendu, et ce, dans le délai de
 deux ans. La commission est certaine de tomber dans la caisse de la SA CREATIS, 
PANORIMMO, ASSURIMMO
 - La nullité du contrat peut également être évoquée, intervenir, sur 
l'interdiction de conditions potestatives.
 Une condition potestative apparaît dans le contrat:
 L'article 1174 du Code civil dispose que:
 « Toute obligation est nulle lorsqu'elle a été contractée sous une condition 
potestative de la part de celui qui s'oblige »
 Le fait ici, que PANORIMMO impose dans son contrat, que lui soit régulièrement 
renouvelé l'ordre de poursuivre la publicité
en demandant au cocontractant de lui retourner des «coupons de renouvellement», 
et ce, pour que la prestation continue d'être assurée. PANORIMMO s'assurerait 
ainsi que le bien qu'ils proposent est effectivement à vendre. Cette clause
caractérise l'existence d'une condition potestative contracté par le client, 
démarché par PANORIMMO.
 Le vice du consentement est clairement établit: cette clause tombe sous le coup 
de l'article 1174 du Code civil entraînant 
ainsi la nullité de cette obligation.
 
La SA CREATIS tente de me faire payer un prix exorbitant, pour une prestation se 
révélant n'être finalement que du vent.Le tribunal appréciera les divers éléments de cette affaire, constatera dès lors 
la nullité du contrat sur l'un des clauses ou 
sur la totalité des fondements juridiques ci-dessus évoqués.
 Je demande également au tribunal d'apprécier ma demande légitime, de dommages et 
intérêts pour le préjudice subit par 
les troubles que toute cette mise en scène et ses conséquences ont entraîné pour 
moi.
 Je désire, pour ce faire, rejoindre les autres plaignants et victimes de cette 
société, en tant que partie civile.
 Je vous joins à ce courrier, copies du contrat établit le .. date de la 
signature du contrat, ainsi que le formulaire pré-établit,
autorisant CREATIS à se faire payer, directement entre les mains du notaire, le 
montant de la commission.
 Je me tiens à votre disposition pour tous renseignements que vous jugerez utile 
de me demander.
 
Veuillez recevoir Monsieur le Juge, par la présente, l'expression de mes 
respectueuses salutations. 
SignatureVotre nom
 P. J: copie du contratCopie du formulaire
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