Dieu ordonne qu’on espère.

L’homme qui croit au Christ est plus fort que tout l’univers.

Le vrai courage n’est pas d’ignorer la peur mais de la dominer.

Ce n’est pas la vie qui importe, c’est la façon dont on vit.

Si j’ai le courage, j’aurai la force.

La mort pour une juste cause est une victoire.

La seule catastrophe , c’es la perte du désir de Dieu.

L’homme ne grandit que s’il se dépasse lui-même.

La vraie force sait sourire.

Le plus beau des fruits qui mûrissent sur l’arbre de la Foi, ce n’est pas le don des miracles, c’est la patience.

Ce qui se présente à faire , c’est exactement ce qu’il faut faire.

Le Ciel aime que nous l’aidions.

Presque tout est possible à celui qui veut, tout est possible à celui qui AIME.

C’est à la patience que se mesure l’amour.

La Charité est une chaîne vivante qui attache Dieu à l’homme.

Comme le bois nourrit la flamme, les peines et les fatigues nourrissent l’amour.

Jésus se donne à ceux qui se donnent.

Jésus est la bonté du Père corporisée.

L’amour grandit dans la mesure où il se donne.

La vérité est simple, notre coeur est simple, notre Jésus est simple. Lorsque ces trois deviennent un, la prière est entendue.

Ne vous plaignez jamais à personne qu’à notre Jésus.

Que votre vie soit une prière ininterrompue.

Si nous savions regarder, nous verrions à toute heure des miracles.

Parlez peu et vous trouverez le temps d’agir beaucoup.

Nous ne pouvons parler avec autorité que de choses vécues.

Non seulement il faut savoir taire un secret, mais encore il faut ne pas laisser voir qu’on pourrait parler.

Parlez beaucoup à Dieu, ensuite pour émouvoir les êtres, vous n’aurez besoin que de peu de paroles.

La tentation à laquelle on résiste ne souille pas mais purifie.

L’Homme n’est pas ici pour commander mais pour se soumettre.

La plus vivante des prières est le bon exemple.

S’il faut aimer pour prier, il faut d’abord souffrir pour pouvoir aimer.

Il faut qu’en s’adressant à Dieu, notre coeur emploie le langage du Ciel et il ne l’apprend que par le sacrifice.

Soyez en paix avec les évènements.

La douleur n’a que l’importance que nous lui donnons.

La solitude est soeur du silence : elle affaiblit les faibles, elle exalte les forts.

La grande voix du silence ne porte que dans la solitude.

L’homme ne se libère qu’en portant ses chaînes et non en les rompant.

Le premier des caractères du mystique c’est le goût de la vie, l’ardeur au travail, la sérénité dans la gêne, la paix profonde malgré les déchirements.

Pour jauger le vide d’une chose, il faut l’avoir expérimentée. C’est à cela que servent les fatigues, les déceptions et les triomphes.

Chaque douleur est un pas vers la béatitude.

Soyez des hommes qui sachent jauger les choses, ou redevenez des tout-petits qui n’ont peur de rien parce que leur confiance est TOTALE.

C’est ce après quoi on court qui nous tient.

L’antipathie n’est que le heurt de deux égoïsmes.

L épée dont se sert le Verbe pour combattre les démons c’est la mansuétude.

La patience est la seule arme qui vainque le temps.

La France remplit, parmi les peuples, le rôle du Saint parmi les hommes : elle est initiatrice, holocauste et victime expiatoire.

TRAVAILLER POUR LA FRANCE, C’EST TRAVAILLER POUR DIEU.