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Ces pages sont pour les visiteurs du site : Carmen
Carmen m'a écrit, et dans ses mots, m'a parlé d'un site qu'un webmaster lui avait proposé de créer pour qu'elle puisse témoigner de sa maladie, et de ses poèmes. Cet indélicat l'a laissée vertement tomber et a de surcroît supprimé le site et donc tout son contenu.
Quand elle m'a parlé de poèmes, je me suis dite que c'était le genre de données qui compléteraient très bien ce site. Je lui ai alors proposé de les remettre en ligne. Une bonne partie des éléments ayant disparu, je recompose, essentiellement avec les textes.
Je remercie Carmen
en tous les cas, pour sa confiance.
N'hésitez pas à Ecrire voeux, souhaits, écrits, témoignages, textes, poemes, réactions gratuitement en ligne en cliquant ici :
Ma Tendre Serena, de Carmen
sur l'étoile du désir d'échange
je partage le bonheur d'exister
et j'oublie angoisses et peurs
quand ta présence m'apporte
le courage de me laisser aimée.
Tu es toujours là, même la nuit
comme des étoiles irisées,
qui éclairent les coins les plus secrets
de mon âme et chaque étoile,
est une part d'amour
miraculeusement unique.
Je vu en toi la force et le désir
d'éveiller en moi les rêves cachés
les rêves perdus.
Merci de stimuler la liberté
de découvrir que le bonheur est en moi.
Les yeux de mon amour de Carmen
Remplis de lumière
Gentiment ils m'ont sourient
Jusqu'hier.
J'ai attendu que tu ouvre
Toutes les portes vers moi
Mais t'es partis chez elle
Sans dire Au revoir.
Les bruits de la rue
Ne me disent rien
Les lumières qui passent
En désespoir m'enchaînent.
L'inquiétude me pèse
Les anonymes me sonnent
Pourquoi autant de silence
Et pas un seul appel ?
Je me sens perdue
Les larmes de Nicolas
Grandissent les miennes
Pourquoi cet amour vendu
En échange de nous ?
L'amour que j'ai eu pour toi
Aussi fort que la souffrance
Et vivre dans l'endurance
C'est la pire des lois.
Tu as voulu mettre fin
A tout ce que nous avons
Sans pour cela penser
A te donner à fond.
Nicolas me dit souvent depuis
« tu vas jamais me quitter maman »
Oh! non mon coeur adoré
personne ne me fera partir
pour te laisser souffrir