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Une époque qui se caractérise déjà par tous les ponts jetés entre les différentes disciplines ainsi qu'entre médecin et patient, science et religion, corps et conscience, médecine et arts, matière et esprit, homme et animal. Une vision d'avenir fascinante d'après le docteur Dossey lui-même. A l'issue de la deuxième guerre mondiale, on s'aperçut des effets de la psyché sur le corps : des milliers de soldats étaient revenus chez eux dans un tel état de délabrement intérieur qu'ils ne pouvaient plus fonctionner normalement. Dans les années qui suivirent, des expériences montrèrent que des rats et des souris enfermés dans de petites cages et soumis à des influences stressantes développaient des ulcères gastriques et duodénaux, souffraient d'ennuis cardiaques, d'hypertension et la plupart du temps finissaient par mourir. 0n se rendit compte que l'immunité de personnes qui venaient de perdre un des leurs, diminuait. A l'inverse, on s'aperçut qu'une relation amoureuse avait des effets bénéfiques et que la méditation et la prière amélioraient l'état de santé général. C'est alors que se dessine lentement une nouvelle époque. De nouvelles expériences suggèrent que le processus de guérison peut être favorablement influencé par des pensées aimantes et des prières, même lorsque les patients ne sont pas au courant eux-mêmes de ces pratiques. En moins de deux générations, les apports de la médecine alliant le corps et l'esprit acquirent une place de choix à côté de la médecine de l'époque. On estima alors qu'une partie de notre conscience peut sortir des limites de notre cerveau et de notre corps et agir partout quelle que soit la distance. Il fut en outre admis que l'aspect non localisé de notre conscience offre de nouvelles possibilités d'aider les autres et ajoute un élément collectif à notre pensée. Au cours d'un colloque qui, en 1997, réunissait une centaine de chercheurs à l'université d'Harvard, les psychologues Laurence Le Shaw et Bernard Grad de l'université Mac Gill de Montréal vinrent témoigner des résultats de leurs recherches. L'un et l'autre mirent en évidence les nouvelles possibilités d'aider les autres par l'aspect non localisé de notre conscience. En d'autres termes, ils expliquèrent l'influence de la disposition d'esprit d'un expérimentateur sur la croissance de plantes ou la guérison des animaux, démontrant comment pensées et intentions positives peuvent influencer de manière non locale la guérison des blessures, voire des tumeurs. Et ceci, sans que les participants - médecins y compris - ne missent en doute la véracité des résultats décrits. Le docteur Elisabeth Targ, psychiatre et directeur de la recherche psychosociale ontologique ainsi que ses collègues de California Pacific Medical Center de San Francisco, le Docteur Helen S. Smith, directeur de l'Institut Géraldine Brush pour la recherche sur le cancer et professeur à la faculté de médecine de l'université de Californie, Fred Sicher, directeur du laboratoire des recherches sur la conscience de Ausalito et le Docteur Moore du département statistique de cette même faculté décrivirent par ailleurs, leurs différentes recherches sur les effets de la prière à distance sur des malades du sida, ceux-ci ayant ignoré si l'on priait ou non pour eux. Quarante volontaires originaires des Etats-Unis et du Canada, de groupes, de cultures et de religions les plus divers, ayant en moyenne 17 années d'expérience chacun, furent appelés à traiter à distance, un patient malade du sida depuis longtemps, en cours de soins médicaux et choisi dans l'un des deux groupes désignés pour l'expérience. En possession d'une photo du patient qu'il devait traiter mais ne connaissant que son seul prénom, le priant devait consacrer à son patient, une heure par jour et six jours par semaine, durant dix semaines. Chaque semaine les patients devaient être soignés par un priant différent. La moitié seulement des malades retenus furent traités à distance sans le savoir. Après prises de sang et tests psychologiques au début et à la fin de l'expérience, les résultats montrèrent des différences significatives entre les deux groupes. Les patients traités à distance avaient moins souffert des maladies associées au sida. Les troubles dont ils souffraient étaient moins graves et ils avaient passé moins de jours à l'hôpital, tout en étant dans de bien meilleures dispositions psychiques que les patients non traités. |