Le risque d’explosion nucléaire est un peu écarté, les opérations pour refroidir les réacteurs en fusion sont très actives. C’est une course contre la montre, une course contre une radioactivité très importante.
Mais pour une raison que j’ignore, à moins de se brancher sur NHK Japon, la chaine de télévision japonaise, c’est difficile de se tenir comme jusqu’à hier au courant. Depuis hier soir, les médias se sont bien écartés de ce sujet, pourtant très inquiétant.
La situation est toujours aussi grave et les grands médias mondiaux s’en sont écartés. NHK est aussi une très bonne leçon d’anglais. Ah ça, c’est sûr qu’il ne faut pas aller chercher du Français. La langue internationale est l’anglais.
Bref, suivre l’évolution de la catastrophe, suivre les vents, suivre tous les commentaires, tous les messages, quelque soit leur nature. Je suis d’aussi près que possible.
Toujours pas de nouvelles de mon amie au Japon, à Tokyo.
Ne pas oublier les centaines de milliers de sans abri qui ont tout perdu. Ne pas oublier que l’air est radioactif dans toute une partie du Japon. Ne pas oublier le peuple Libyen non plus.
Il faut absolument aider les réfugiés: envoyer des dons: Don pour le Japon
La plupart ont tout perdu et n’avaient pas grand chose pour vivre. Là, ils ont encore moins: ils n’ont plus rien. Ils restent dignes, forçant l’admiration du monde entier. Au Japon, on ne se plaint pas, on ne manifeste jamais sa colère. D’où leur stoïcisme en dans la pire des situation