J’ai écris plusieurs choses sur le sujet qui me semble inépuisable.
L’observation de l’animal, principalement pour ma part avec le chat.
Le paranormal, qui comme son nom l’indique ou ne l’indique pas, n’est pas tout à fait dans nos données purement cartésiennes. On pourrait traduire même : parallèle au normal.
Le paranormal, qui comme son nom l’indique ou ne l’indique pas, n’est pas tout à fait dans nos données purement cartésiennes. On pourrait traduire même : parallèle au normal.
La situation est étrange et tout ce qui la compose ne peut pas forcément être analysé avec nos connaissances.
Bref, c’était pour parler du comportement de l’animal avec les autres dimensions. Heu, pour évoquer les animaux et le paranormal.
Les animaux en relation avec l’occultisme.
Je crois que cette analyse n’est pas du tout extraordinaire, et encore moins nouvelle. Depuis des lustres si on peut dire, les civilisations anciennes observaient et surtout vivaient au quotidien la relation de l’animal avec l’invisible.
Les égyptiens (encore eux) savaient depuis des temps très anciens que les animaux étaient en contact avec des entités que l’être humain ne voit pas.
Sauf que pour eux, c’était normal. Leur culture était très influencée par tout ce qu’on appelle aujourd’hui, paranormal, occultisme et j’en passe…..
Il y a quelques temps, ça devait être aux Etats-Unis, des chercheurs ont cherché à reproduire en laboratoire, les conditions « visibles » d’un séisme, aussi bien dans un zoo que dans de petits aquariums.
L’équipe voulait savoir ce qui, chez l’animal, pouvait savoir, détecter, l’arrivée d’un tremblement ou d’un phénomène terrestre normal.
Ils n’ont rien obtenu du tout, râlant, quand on voit les moyens qui ont été mis dans cette expérience.
Le déclenchement d’un phénomène naturel, comme un ouragan ou un tremblement de terre n’implique pas du tout les mêmes Eléments qu’une expérience faite par des humains.
Les animaux réagissent et devraient être une indication pour les humains. Avant, les civilisations le savaient et surtout ne construisaient rien sur, dans, au bord, de l’eau.
On ne sait plus regarder les animaux, alors on a crée des instruments de mesures qui sont sensés palier ce manque.
Les animaux « reçoivent » une sorte de message de l’invisible. Ils savent qu’un danger arrive. Il faudrait absolument les suivre.
Mais voilà, depuis, on nous a dit que c’était n’importe quoi. Que si les animaux fuyaient, on ne savait pas pourquoi et surtout pas où ils allaient. On nous a dit : avec nos appareils, on détecte tout, donc on vous avertira avant.
Avertir oui, mais maintenant, personne n’est obligé de suivre. C’est ce qui s’est passé en Birmanie, les pays voisins avec leurs appareils, les ont prévenus d’un danger ; à plusieurs reprises.
Certes, mais le message n’est pas passé du tout, ou plutôt n’a pas été du tout entendu.