L’iode radioactif contamine différemment du césium. La radioactivité de l’iode sera quantifiée en plus grande quantité mais sur moins d’années.
L’iode radioactif contamine sur une durée d’environ 8 jours alors que le césium radioactif contamine sur une durée de 30 ans. Le césium 131 sur moins longtemps que le césium 137, mais sur plus de 10 ans.
Des taux d’iode radioactifs différends suivant les endroits analysés au Japon. Tous les produits frais venant du Japon sont surveillés et analysés (j’espère que c’est mieux fait qu’en 1986. Les autorités n’ont plus aucune crédibilité depuis le mensonge de la catastrophe nuclaire de Tchernobyl).
A 40 kms autour de la centrale, les populations ont été évacuées, et des taux de radioactivités ont révélé des taux de contaminations jusqu’à 50x le taux maximum toléré. Tout l’environnement dans les 50 kms autour de Fukushima sont contaminés par une radioactivité très importante.
Non seulement le Japon est dans un état de
catastrophe naturelle dépassant tout ce que les scénarios catastrophes avaient pu imaginer jusque là, mais c’est aussi une
catastrophe nucléaire, puisque la radioactivité à l’iode est présente un peu partout sous une forme ou sous une autre. La radioactivité au césium n’est pas assimilée de la même manière. Les cachets d’iode par exemple ne concernent que la contamination de l’air, de l’eau, à des taux importants, par la radioactivité du césium.
catastrophe économique, parce qu’une bonne partie de l’économie est bloquée. Entre la radioactivité et les établissements détruits par les multiples séismes et par le tsunami qui a emporté des villes entières. La Coréen la Chine vont profiter, économiquement de cette catastrophe japonaise.
On ne peut pas imaginer, ni quantifier le défit inouï qui attend le pays. Redémarrer dans un tel contexte, dans un pays blessé.
catastrophe humanitaire, des villes entières détruites, des centaines de milliers de réfugiés, des milliers d’évacués. Ce sont des risques importants d’épidémies, de maladies.