Prières avec les chevaux

J’imagine qu’on va me taxer de : Oh , elle parle à l’oreille des chevaux!!!

On peut dire qu’on ne croit pas si bien dire.

Le moment que j’ai vécu fut d’une telle intensité que je ne pouvais m’empêcher de le partager avec des amis proches. Je leur envoyé un mail, pour leur raconter, et tenter de leur donner une impression de l’émotion particulière ressentie.

Cette expérience date de fin décembre 2002, elle est donc récente, et j’ai tout de suite pensé à l’ajouter sur le site.

L’une des personnes à laquelle j’écrivais m’a recommandé de copier-coller littéralement le mail que je leur avais envoyé.

Le voici ce mail, tel quel (en-dehors du pseudo que j’ai enlevé):

Bonjour, :o)

Ça a été difficile de retrouver ton mail Phil. Il y en a tellement sur ce pseudo….. Et puis, j’avais entré ..pseudo.. dans la recherche AOL…. Bref, je me suis souvenue de certains mots dans le mail, et c’est donc par le contenu que je l’ai finalement dégoté…

J’espère que les fêtes se passent bien pour vous. :o)

Ici, pas trop à se plaindre…. Ç’aurait pu être pire.

Donc, je vous souhaite, avant d’oublier, une très très bonne année 2003. :o)))

Pour ma part, j’ai vécu il y a quelques jours, un moment inoubliable avec des chevaux. Entre ce que Patrick m’en avait dit, plus le spiritisme, plus ce que j’en avais discuté avec Val….. Etc.*

En gros, j’allais les caresser, et passer un bout de temps avec eux, parce que Jean-Paul, Arnaud, mon beau-père et son petit-fils allaient en ballade avec des poneys. Les adultes tenant en laisse les bestioles en question, sur lesquelles étaient juchés les enfants. :o)

Ils ont mit un moment à se préparer, mais je savais que je passerais un grand moment dans les boxes.

Je serais incapable de dire combien de temps j’y suis restée. Ce que j’ai comme point de repère, c’est, entre autre, que je ne suis pas re-sortie du tout, même pour fumer une cigarette.

La première approche fut globale je dirais. Il y avait une dizaine de chevaux. Dès le début, le contact est très bien passé avec l’un d’eux. Je ne sais combien de temps après, je suis quand même allée vers les autres. La différence de contact fut aussi étonnante que vis-à-vis des humains…. Avec certains ça allait, avec d’autres beaucoup moins. Probablement pour certains, fatigués des contacts avec les humains….

Je précise que nous étions au club hippique local. Que je n’y avais plus mis les pieds depuis 15 ans (depuis mon arrivée ici en fait)

La différence est que 15 ans auparavant, c’était pour monter ; cette fois-ci, pas du tout eu cette intention.

Donc, je vais rendre visite aux petits copains du premier cheval. Là, je m’arrête devant un boxe, parce que mon regard se fixe sur celui du cheval…. Comme avec le premier, ce type de contact ne m’était jamais arrivée.

Dès le début, je me dois d’ajouter que j’ai prié…. Ça non plus, je ne l’avais jamais fais.

Je n’attendais rien du tout ; tout comme mes tests avec les bébés, il y a quelques années. Je n’ai jamais rien lu sur les chevaux et ce que pouvait donner la prière. Mais j’avais bien en tête, le fait que le cheval est l’animal le plus élevé sur le plan spirituel.

Mais de là à savoir ce que ça pouvait donner…… Que neni.

Avec le deuxième cheval, la prière fut très intense ; comme rarement.

Nous étions en totale communion…. Là, j’ai réalisé que je serais incapable de les monter….. Faut pas me demander pourquoi, je ne saurais le dire.

Il se trouve que j’ai la peau très acide (le goût salé qu’aiment tellement les chevaux), détail que j’avais parfaitement oublié.

Ces deux chevaux m’ont presque mangé la main. Les pincements (parce que leurs dents sont plates), furent douloureux. Je le leur ai littéralement dis, à chacun, doucement, pour qu’ils se calment. :o)

Mais l’intensité des présences entre nous, m’a obligée à comprendre, j’avais tout un tas d’éléments autour de moi, que je voulais vivre le plus totalement possible, et que pour eux, il en était d’une toute autre sorte. En osmose, mais, chacun dans son univers.

Le deuxième mordait littéralement le blouson, pour que je ne parte pas. Il me fallait à chaque morsure dans le vêtement, glisser ma main entre le blouson et sa bouche (?, je ne connais pas le terme :o)), pour qu’il accepte de lâcher le dit-vêtement.

Nous avons eu une communion impressionnante, lui et moi. Front contre front, je savais si je pouvais lui parler, mais le plus souvent, le silence fut lourd de présence spirituelle.

Je serais malheureusement incapable de mettre des mots sur les sensations vécues. La pression sur le plexus, me faisait bien comprendre que nous n’étions pas seuls.

J’ai eu l’impression d’une force inouïe, sur le plan spirituel, à leur contact. Une force dont je ne sais pas du tout comment la chercher, comment la découvrir.

Excusez-moi de cette dithyrambique tirade, mais je voulais vous en parler. C’est l’arrivée de mon beau-père, venu me chercher qui m’a sortie de cette torpeur. Nous étions dans les nuages.

j’ai mis un bout de temps à revenir à la réalité. Mais cette expérience fut si intense, que j’ai bien envie de remettre ça. :o)

Heu, depuis quelques temps, je me sentais très coupable de ne pas prier correctement. Mais là ; ça a dépassé tout ce que je pouvais imaginer. :o)

Il y avait déjà un bout de temps que j’étais avec eux, quand j’ai réalisé que je n’avais même pas pensé à Val, pourtant tellement passionnée pour tout ce qui touche au cheval.

Je pense en partie que c’est dû à une approche très différente, mais néanmoins tout à fait complémentaire.

Désolée de vous noyer, mais je ne pouvais faire autrement. Je vais en faire, rapidement une page sur le site. C’est trop important.

Je ne vous embête pas plus, et vous envoie à tous les deux, ainsi qu’à Manon et Erwan, de très gros bisous ;o)))

Bisous des Anges du Ciel sur vos coeur. :o)

Hélène

Rien à voir avec le reste du mail, mais Val (Valérie) dont je parle sur le texte a crée une page perso http://monsite.wanadoo.fr/aido/ sur sa passion. Une grande amitié nous lie et pas seulement spirituelle. Si vous avez envie d’aller partager sa passion de l’aïkido et du cheval, vous apprécierez.

La voyance, c’est avoir un don?

Hum, vaste sujet dans ce domaine… La voyance est-elle un don? Un don de naissance, un des dons possibles à la naissance? Est-ce-que la voyance est innée ou se travaille-t-elle? comment avoir des dons de voyances, un don de voyance?

Je crois aujourd’hui que ça peut être un don qui se travaille. La preuve en est, ce que j’ai écris sur mediums voyants

J’ai découvert, il y a quelques années, qu’un bébé est un véritable voyant, un médium !

Enfin, J’ai découvert… Pour être plus exacte, plusieurs lectures m’ont apportée une étonnante disposition des bébés.

Je l’ai testée à plusieurs reprises depuis cette époque, et chaque fois, chaque essai aboutit à la même conclusion :

– Ils voient et entendent ce que nous ne voyons ni n’entendons plus depuis… Notre enfance !

Les bébés sont en contact direct avec le monde invisible. Tout nourrisson a ce don à la naissance.

Pourquoi d’ailleurs le considérer comme un don, puisqu’il nous est livré naturellement, et ce, au même titre que la respiration ou les battements du coeur. Ce sont les interdits des parents, influencés par la société qui finissent à la longue par obstruer le canal pourtant naturel. Il est donc un peu exagéré, pour un adulte qui se dit voyant ou médium, d’affirmer qu’il a reçu ce don de sa mère ou de sa grand-mère…

Le nourrisson que l’on voit gesticuler dans son landau, est naturellement en contact avec des êtres que nous, nous ne voyons pas ; lui les voit !!

Chacun de nous en a fait autant.

Souvent, un enfant que l’on entend dire qu’il a vu quelque chose, alors que les adultes autour de lui ne voient rien ; il lui est demandé de se taire. Ces facultés de l’enfant s’estompent peu à peu à partir de ses sept ans. Sept ans sont en effet nécessaire à l’âme pour s’intégrer en nous totalement. Pendant toute la petite enfance, elle se ballade… Si les parents, l’entourage familial, affirment haut et fort devant l’enfant qu’il ne faut surtout pas l’écouter… Sauf que nous l’avons tous faits durant notre enfance.

La première fois que cette Evidence m’a sautée aux yeux, s’est trouvée être dès les premières fois où j’ai prié à coté du lit d’un petit garçon, âgé à cette époque de deux ans et demi. Je prie toujours intérieurement ; rarement à haute voix.

J’étais juste assise par terre, mais pour une raison que j’ignore, je me suis aperçue que je me serrais contre les barreaux ; une prière très intense en moi.

Je n’ai su que 3 ans plus tard que ce que je ressentais en moi était dû à l’ouverture, par la pratique de la prière, des chakras.

Le petit garçon gesticulait avec les bras, gargouillait… Il ne parlait pas, mais prononçait de drôles de borborygmes, de drôles de sons guturaux (vous me direz que c’est normal pour un bébé… :o)). Et puis il m’a dit, ou plutôt s’est exclamé oiseau….Ou quelque chose comme ça. J’ai regardé dans la direction qu’il me montrait avec son bras….(Vous imaginez mon étonnement) Mais je ne voyais bien-sûr rien.

Je lui ai affirmé que je ne voyais rien, mais que je le croyais. Il a tellement manifesté son mécontentement que je ne vois pas la même chose que lui, qu’il a hurlé sa colère…. Incitant son père à manifester sa colère ; lequel, il faut le préciser n’était pas avec nous, mais ailleurs dans la maison. (L’interdit parental par excellence).

J’ai testé sur plusieurs autres bébés, dont plusieurs que je ne connaissais pas du tout. Je n’ai pas cherché non plus à savoir si leurs parents étaient portés ou non sur la spiritualité ; les prières que j’ai placées sur la page spiritualité. Je n’en avais pas encore le texte qui se trouve sur le site ; mais néanmoins, le fond était très proche.

Le deuxième bébé que j’ai testé est une petite fille, d’environ six mois ; elle était simplement assise dans un siège-bébé. Je précise que nous n’étions pas seules dans la pièce, qu’il y avait plusieurs adultes ; lesquels avaient leurs occupations ; donc nous ont laissées un moment tranquilles.

La présence de personnes ne m’empêche pas du tout de prier. Dès lors tout de même, que je ne participe pas à la conversation.

Donc, je me place devant elle ; acroupie, pour être à sa hauteur. Et je commence à prier, aussi intensément que possible. J’ai lu quelque part que le Je Vous Salue avait une influence assez positive.

Je m’explique :

C’est avec ce bébé que j’ai réalisé la différence d’influence, sur le comportement du nourrisson, entre le fait de dire le Je Vous Salue et le Notre Père. Cette dernière impose manifestement une puissance qui impressionne grandement le bébé.

Donc, j’ai commencé avec la prière pour Marie :

Le bébé sourit beaucoup, regarde beaucoup, il est très excité ; il ouvre de grands yeux et regardais beaucoup autour de moi ; il était on peut dire, très gai.

….. Je re-précise que je ne sais absolument pas ce qu’il voit ; mais vue sa réaction ; il n’y a vraiment aucun soucis à se faire. J’avais de très forts ressentis quand il regardait autour de moi ; il regardait exactement aux endroits où je ressentais le plus.

Par contre, avec la deuxième prière, qu’est le Notre Père, là, on se demande ce qu’il voit….On ne va pas dire qu’il est effrayé, non ; le mot le plus approprié serait qu’il est Impressionné…!!!

Mais à un point….

Je re-commence le je Vous Salue….Et re-sourires…

Cette expérience ne peut s’éterniser, parce que bien sûr le bébé fatigue. L’énergie est très importante ; mais les deux prières de chaque que j’ai faites furent des plus concluantes.

J’ai re-tenté avec d’autres bébés ; dont une fois ; une petite fille, qui avait deux jours…. La même réaction sur le Je vous Salue que la première. Mais, pour cette deuxième petite fille ; elle n’a pas du tout été impressionnée par le Notre Père. Elle souriait… On peut peut-être le dire : aux Anges…

Les économies de la sécu

Les économies de la sécurité sociale

Parlons-en des économies de la sécurité sociale!!!

Quand on est hospitalisé sur une longue durée, il peut arriver qu’on soit autorisé à sortir pour rentrer chez soi, ne serait-ce que le week-end.

Il est normal que la médication, que le traitement médical continue sur cette durée. Ca n’est bien sûr pas parce qu’on part quelques jours qu’on doit pour autant arrêter les médicaments.

Bref, donc, on sort de l’hôpital avec une ordonnance aussi complète que si on partait un mois. Et en plus, avec des médicaments, qui pour certains ne vous sont plus utiles, mais l’hôpital ne les a pas mis à jour…..

Donc, on se retrouve en pharmacie pour les prendre. Là, c’est rare quand ils les ont tous. Je ne vous dis pas l’addition dans certains cas, pour seulement 2 jours!!!!!

Il y a autant de médicaments prescrits que pour des semaines, pour deux jours.
Même le pharmacien ne comprend et la conclusion qui s’impose :

On ne voit pas comment la sécu pourrait faire des économies avec ce type de pratiques.

C’est bien gentil de prendre au consommateur 1 euro à chaque consultation, mais il faudrait peut-être aussi voir du côté des professionnels de santé.

Le trou n’est pas dû à la consommation de médicaments, d’autant que l’auto-médication est très importante dans notre pays. Qui dit auto-médication, dit pas de remboursement.

Il y en a qui doivent se frotter les mains.

Perso, je suis écoeurée de ce type de pratiques.

Merci le monde médical en étroite collaboration avec le monde des laboratoires

Justice à plusieurs vitesses

Justice à plusieurs vitesses, deux à 2 vitesses

Comment ne pas être désabusé, ne pas être choquée, voire écoeurée de tant de différences de traitements.

Comment accepter qu’une famille, dans quelque difficultés qu’elle soit, ait le téléphone, pour ne parler que de ça, coupé, ou mis entre les mains d’une assistante sociale qui explique qu’on dépense trop.

Alors que dans le même temps, la même entreprise laisse courir une dette de l’Etat infiniment plus grave et importante

Comment ne pas être outré par de telles différences de traitements.

Comment accepter que la population ne soit pas traitée de la même façon que les gens qui gouvernent…. !!!

Tarot du jour

Tirage en croix du tarot du jour gratuitement en ligne, Interprétation gratuite et immédiate

Le tirage en croix est une méthode d’interprétation tarologique proposée par Stanislas de Guaita au 19e siècle. C’est la méthode la plus utilisée.

Pour ce tirage, on utilise les arcanes majeurs (22 cartes), les 22 lames majeurs du tarot de Marseille. On choisit 4 cartes (ou lames) :

La 1ère lame (le positif) représente la question du consultant.

La 2e lame (le négatif) indique les éléments en général défavorables.

La 3e lame (la vibration) indique les possibilités, la force majeure.

La 4e lame (la direction) indique le cadre général de la réponse.

La synthèse est la combinaison numérologique des lames tirées. Elle éclaire à la fois l’ensemble du jeu et chacune des cartes. Cette carte peut être la même que l’une des 4 cartes tirées.