Le bac quelques jours plus tard, dans un calendrier déjà surchargé

Nous avons le système scolaire le plus lourd, le calendrier scolaire est un des plus chargé d’Europe. Une fois de plus, nous ne sommes pas une référence, juste pour changer de d’habitude.

Et le baccalauréat est retardé d’une semaine. Je connais plusieurs enseignants, dont certains sont correcteurs au bac. Il se demandaient déjà comment il était possible, d’être prof et de surveiller le bac en même temps.
Et je ne parle pas des corrections de bac.
Là, ils se retrouvent avec tout en même temps.

Allonger un 3e trimestre qui dure depuis les vacances de Pâques. Les enfants, les élèves sont déjà de 8h à 17h dans leurs classes et on rallonge, pour rien du tout.
Le dernier mois, tout le monde commence à se reposer, mis à part les bacheliers et les brevets.

Je ne comprends vraiment pas

Ca peut-être risqué, dangereux, de critiquer

Il y a quelques temps, quelques semaines, j’ai osé critiquer mon FAI. Mon fournisseur d’accès à internet.  Dans les heures qui ont suivi, ma boite à lettres qu’ils proposaient de paramétrer, de personnaliser, sur leurs serveurs a été vidée. Un reset total de deux mois de mails. Comme une remise totale à zéro.

On peut dire que c’est un concours de circonstances. Juste, je trouve ça un peu gros. J’ai perdu et des mails persos et des emails pros.
J’ai signalé le problème, mais jamais aucun expert ne m’a recontactée.

Depuis, je sais qu’il y a des sujets qu’il vaut mieux éviter d’aborder. Des mails, c’est une chose, mais il peut y avoir d’autres conséquences.

Je trouve anormal qu’on ne puisse mettre en avant d’évidentes incompétences, connues de pas mal de gens. Ben, on n’a pas le droit d’en parler sur le net.

Un proche m’avait convaincue de tout laisser sur le serveur. Logique, au moins, de quelque ordinateur que je me connecte, je pouvais récupérer mes mails, les avoir sous la main.

Quelques fois, donc, il vaut mieux se taire…………. Ben ça en fait des menaces potentielles.

On nous demande d’économiser l’électricité

On demande aux particuliers d’éteindre les lumières chez eux. Pourquoi les grandes avenues sont-elles gorgées d’ampoules qui polluent et consomment de l’énergie? Pourquoi les éclairages publics sont-ils allumés dans la journée?
Pourquoi demander aux particuliers ce que les villes elles-mêmes ne font pas?

C’est quoi un ex-voto, définition d’un ex-voto, ce que signifie

Un ex-voto peut avoir un grand nombre d’aspects

C’est comment un ex-voto, c’est un objet qui, quelque soit sa forme, demande ou remercie pour une grâce divine demandée ou obtenue.

Dans les églises, c’est souvent une plaque de marbre sur laquelle on trouve la phrase de demande ou de remerciement.

A Lourdes par exemple, dans cette cité mariale si connue du grand public, des murs entiers des diverses chapelles et basiliques réparties dans la ville, sont couverts de ces plaques. La taille de ces plaques est quelques fois différente. Mais mis à part cet aspect, les caractéristiques sont très semblables.
Les plaques ont les formes les plus courantes, un peu comme les plaques funêbres sur les pierres tombales.
Les unes remercient, les autres pleurent

On trouve aussi des cannes pendues à des fils. Comme une corde à linge sur laquelle sont accrochées les unes à côté des autres ces restes d’un handicap guéri ou de toute autre forme de guérison.

C’est le secret de la prière

C’est le secret de la prière. Prier c’est retrouver l’union (p. 60)

C’est le secret de la prière, le terreau de la prière, l’union toujours possible parce qu’elle nous est donnée.

Rien n’est cause de cette union puisque c’est un don, mais tout devrait être conséquence, à commencer par notre vie de prière.

Il s’agit bien d’un grand retournement !

Prier, c’est reprendre conscience de l’union et vivre un moment d’amour avec l’Amour qui est en nous.

Cela s’appellera oraison ou demande, psaumes ou chapelet, alleluia ou même cris, reproches.

Cela s’appellera prier dans le secret ou célébrer les liturgies de masse. Mais c’est toujours : retrouver l’union.

Dieu m’exauce toujours (p. 7)

La réponse est dans Jean 17, 3 : La vérité éternelle, c’est qu’ils te connaissent.

En disant cela, Jésus pense à ce qu’il a essayé de révéler, ce pour quoi finalement il est venu : Père, qu’ils sachent que tu les aimes.

C’est cela connaître Dieu. Et nous le savons bien ! Mais en tirons-nous toutes les conséquences ?

Quand je prie, je prie quelqu’un qui m’aime, qui veut m’exaucer et qui peut m’exaucer.
Sinon, qui est mon Dieu.

Prier avec foi (p. 88)

Mais le moindre flottement au sujet de la certitude d’être exaucé risque de tout compromettre.

Si vous ne doutez pas, précise bien Jésus (Mt 21,22) et il ne s’agit pas de doutes secondaires sur la force de notre demande ou sur l’objet de cette demande, il s’agit de l’assurance fondamentale sans laquelle toute demande est menacée d’échec : Je suis sûr d’être exaucé .

Quand ? Comment ?

Ça pourra se discuter mais à l’intérieur même de la formidable certitude, Dieu est vraiment Dieu, et il est Dieu pour nous.

À partir de là nous pourrons accueillir dans une confiance heureuse les réelles difficultés au sujet des conditions, des délais et de la nature même de l’exaucement.