L’amitié une épice rare inesperée épice de vie

Texte posté par une amie du forum: Il y a dans ma vie, une épice rare, inespérée,

Il y a dans ma vie, une épice rare, inespérée,
je dirais même, bénie des dieux.
Cette poudre magique transforme mon quotidien
en rayon de soleil dès qu’elle se répand sur
un problème à résoudre, une solution à trouver.
J’ai cette chance inouïe de posséder cette substance miracle !

Quand je traverse des temps difficiles,
que mon quotidien me fait mal, qu’il y a un trop plein de vécu
et que j’ai besoin de courage et d’énergie
pour faire face au nouveau jour qui naît, et qui
doit se poursuivre malgré la coupure du temps,
c’est alors que mon épice magique vient saupoudrer
ma journée de compréhension, d’écoute active.

Son parfum me soutient, sa force me guide,
son arôme de discrétion me protège.
Le plus beau souhait que je puisse vous faire,
c’est de trouver cette poudre magique,
de la répandre avec amour.

Cette épice de vie a pour nom :  » Amitié  »

Auteur : Louise B. Giroux

On ne souffre jamais que du mal que nous font ceux qu’on aime

On ne souffre jamais que du mal que nous font ceux qu’on aime…. de Victor Hugo

Autant que les larmes servent à quelque chose. A essayer d’expliquer pourquoi les souffrances apportées par certaines personnes, font plus mal que d’autres.
S’il n’y avait pas de sentiments, il n’y aurait pas de souffrances, de douleurs. Si on parvenait à garder une certaine distance, on ne souffrirait pas autant.

Les hommes ne sont pas plus à l’abri que les femmes. Leur orgueil les fait réagir autrement. Leurs colères aussi. L’homme s’emporte plus vite que la femme. Ca dépend desquelles et desquels.
On peut peut-être dire ça, on peut aussi dire ça.

Quelque fois on entend des mots dont on se demande ce qu’on a fait pour les entendre. Il faudrait se dire qu’on est pas forcément responsable des mots qu’on entend. Oui mais tout le monde n’arrive pas à prendre cette distance.

La distance en question est tributaire de nos sentiments. D’où le fait qu’on prend si mal la moindre phrase de travers. La violence des mots encore plus.

Quand les larmes coulent coulent coulent

Pourquoi pleurer quand on cherche l’harmonie

Les larmes sont souvent le reflet de douleurs nées de plein de raisons. Elles coulent quelques fois plus fort parce qu’elles expriment une ou des douleurs et que la seule façon de les sortir, c’est de pleurer à chaudes larmes.

Dur de pleurer quand on est seule, quand on n’a pas d’épaules pour s’épancher comme on dit.
Dur de pleurer tout ce qui peut sortir, et dieu sait que les larmes peuvent sortir très facilement.
Un mot en trop, une colère, une haine…. tout peut entrainer les larmes
Tout, absolument tout.

Même ça, c’est dur à écrire. Même ça. Les lames coulent toutes seules. Je n’ai même pas besoin de mes lunettes. Je distingue les touches à travers les larmes

Il est logique mon titre finalement: pourquoi pleurer quand on cherche l’harmonie. Parce qu’elle est très dure à atteindre cette harmonie.
Elle est si difficile à vivre que la plupart des gens passent à côté, sans même l’apercevoir. Ils ne sont jamais heureux, jamais contents, jamais une satisfaction, si rarement des sourires. Ils sont plein de larmes en eux, mais ils les sortent autrement que par des larmes

Je suis vidée, enfin, d’une certaine manière vidée. Ne mettons pas toutes les situations dans le même paquet.
Je n’entends le plus souvent que des hurlements de colère, des plaintes de mal-être. Et je n’arrive malheureusement pas à prendre de distance

Résultat les larmes

J’en connais qui vont être contents de lire ces lignes. Ca va leur faire plaisir.
Merci les amis. Ceux qui se sont dits être des amis et qui ont pris fait et cause. Ils ont fait leur choix. Le choix qui leur coutait le moins, c’est tellement plus facile

Tout le monde a le droit d’être défendue à une défense

Tout le monde, toute cause a le droit d’être entendue, d’être défendue

Toute injustice, tout ce qui peut être vécu comme injuste peut et doit avoir une défense.
On ressent comme une grande injustice quand une seule partie est entendue. Rien de plus injuste que d’entendre un seul son de cloche.
Rien.
Il faut entendre toutes les parties, sinon le jugement est obligatoirement faussé.

Quiconque fonde son jugement sur un seul avis est forcément dans l’erreur, dans une grande injustice.
Les amis, comme votre entourage, comme tous ceux dont vous pensez qu’ils sont au moins neutres.
En réalité, ils ne le sont pas. Leur choix de la part de gâteau est déjà fait.
Personne n’est neutre. Pour l’être, neutre, il faut avoir entendu tout le monde. Les vrais amis devraient entendre tous les sons de cloches. Mais malheureusement, ils se contentent de ce qu’on leur sert sur un plat. C’est tellement plus facile.

L’injustice absolue est d’autant plus mal vécue quand elle vient de soit ceux que vous considérez comme des amis, soit ceux que vous aimez parce qu’ils sont votre entourage
Ces injustices sont d’autant plus douloureuses à vivre qu’elles viennent de personnes que vous appréciez

On ne souffre jamais que du mal que nous font ceux qu’on aime.

Plus les sentiments sont présents, plus la douleur est grande. Vous pouvez m’en croire.

L’injustice c’est affreux. Surtout quand vous découvrez que ceux que vous pensiez être des amis vous tombent dessus à bras raccouris.

Béatification et canonisation béatifier et canoniser

Différences entre béatification et canonisation, que signifient béatifier et canoniser, signification de la béatification et de la canonisation

La béatification intervient avant la canonisation. C’est la première étape, sans laquelle une canonisation ne peut être prononcée.

Une personne décède et tous ses actes sont analysés, toutes les traces qu’elle a pu laisser lors de son passage sur terre font l’objet d’une véritable enquête. Et le Vatican ne plaisante pas du tout sur ce genre de procédure.
On parle de procès en béatification, ce qui donne une idée de l’aspect très sérieux de l’enquête engagée.
Procès parce que la personne aura un avocat pour la défendre et un autre, dit à charge, comme dans un procès en justice tel qu’on les connait en France par exemple.

Donc, la béatification prononcée, la personne reçoit l’appellation de « Bienheureux, Bienheureuse »
Ainsi, par exemple, Jean-Paul II a pu, de son vivant, accélérer la béatification de son amie Mère Térésa. Il savait qu’il ne pourrait la faire canoniser de son vivant, tant la procédure est longue et d’une très grande complexité

La canonisation aboutit à l’état de Sainteté. La personne rejoint le cortège de Saintes et Saints recensés dans le monde chrétien.

Il y a eu des canonisations controversées, et d’autres qui n’ont jamais aboutit. Peu importe pour qui.

Il faut des actes miraculeux dans la vie du défunt. Or pour obtenir le qualificatif de miraculeux, l’Église catholique a besoin de plus de données qu’un être humain ne peut en fournir.

Il suffit de voir avec quelles difficultés, les miracles de Lourdes sont de temps ne temps reconnus. Le diocèse a reconnu qu’un certain nombre de cas auraient pu être reconnus comme miraculeux, mais que les critères de l’Église étaient tels, que c’était bien difficile à démontrer.

C’est ainsi que certaines Saintes et certains Saints n’ont été canonisés que des centaines d’années après leur mort.
Quand on voit le peu de traces qu’il peut y avoir de la vie de quelqu’un ayant vécu il y a des centaines d’années, si on compare avec toutes les traces d’aujourd’hui alors que cette canonisation est presque aussi longue. Ce doit être une fameuse enquête pour une existence remontant à 300 ou 500 ans….

Source wiki: Une béatification n’aboutit qu’après une longue procédure (ou ‘procès’) préparatoire, mise en route par l’évêque du lieu où est décédé le candidat, et soutenue par une dévotion populaire, avec appel de témoins – favorables ou contraires – et examination des écrits. Le tout doit être confirmé par un miracle obtenu par l’intercession céleste de la personne concernée.
Selon l’article 9a des Normes pour la cause des saints (Novæ leges pro causis sanctorum), promulguées le 7 février 1983, les évêques doivent attendre cinq ans après la mort de la personne concernée avant d’introduire sa cause, afin que l’émotion n’entre pas en ligne de compte.
La Congrégation pour les causes des saints a promulgué en 2007 la version actuelle des règles à suivre pour l’enquête diocésaine.
La plupart des théologiens ne considèrent pas la béatification comme une déclaration infaillible de la part du pape, contrairement à la canonisation.
La déclaration de béatification se fait lors d’une cérémonie eucharistique solennelle, après la lecture du texte d’Évangile. Aucun rite liturgique particulier n’y est attaché.
Le pape Jean-Paul II a, lors de son pontificat, modifié considérablement la pratique de la béatification. Jusqu’en octobre 2004, il a béatifié 1340 personnes, soit plus que l’ensemble des béatifications effectuées par ses prédécesseurs depuis le pape Sixte V, qui établit une procédure de béatification similaire à celle en pratique aujourd’hui. En outre, Jean-Paul II a introduit lui-même une cause en canonisation, ce qui permet d’écarter la réserve des cinq ans : mère Teresa fut en effet béatifiée (en 2003) seulement six ans après sa mort (1997). De même, le pape Benoît XVI a autorisé le début du procès en béatification de Jean-Paul II avant les cinq ans.

https://www.tarot-numerologie.fr/blog/2011/01/14/beatification-de-jean-paul-ii-va-etre-beatifie-bienheureux/