N’importe quelle voiture peut être une voiture banalisée, avec un radar placé sur le pare-choc. Si on est conducteur, si on est au volant, on n’a pas le temps de la repérer. Le radar est très bien dissimulé. Donc, étudié pour que le conducteur n’ait pas le temps de la repérer.
L’une des rares possibilité de la repérer, c’est parce qu’il y a quelqu’un dedans assis sur la place du conducteur.
Cela dit, on est sensés respecter les limites de vitesse, je sais. Mais ça peut arriver, surtout en ville, c’est très facile de se faire choper par un radar planqué efficacement, placé là pour remplir les caisses de l’état.
Astuces pour rendre le croquant aux feuilles de salade défraichies
pour rendre le croquant aux feuilles de salade défraichies, ramollies
C’est très simple de rendre tout son croquant à une salade verte Il suffit de mettre la salade dans un bain d’eau froide. Et ce, pendant des heures si c’est nécessaire.
Elle retrouve son croquant, mais a perdu une partie de son goût…. On ne peut pas tout avoir. Mais au moins, ainsi, elle ne part pas à la poubelle. C’est toujours ça de gagné.
Cette astuce est valable pour toutes les salades vertes. Qu’il s’agisse de salade romaine, de laitue, de salade de feuille de chêne, de sucrine…… Je ne connais pas toutes les salades. Mais cette astuce, ce truc je l’ai utilisé tellement de fois qu’il fallait que j’en parle ici.
Cette astuce ne peut être mise en pratique qu’une fois.
2 heures de trempette de trempage en eau froide et le tour est joué.
Hum, une personne m’a dit récemment qu’elle plongeait la salade dans de l’eau tiède…… Okkkkkkkkkkkk
Et là, je viens de lire qu’il y en a qui plongent la salade dans l’eau tiède d’abord et ensuite dans l’eau glacée!!!
Qui dit mieux?
Savoir si j’ai eu des vies antérieures et combien j’en ai
Est-ce que j’ai eu des vies antérieures? Combien j’en ai eu? Pourquoi je ne m’en souviens pas?….
On se pose plein de questions et de toutes natures sur les vies antérieures. Ce qui constitue notre karma.
Beaucoup d’interrogations sur les vies passées.
Les vies antérieures et notre karma spirituel…………….
Tout un programme
Toute l’accumulation des expériences de nos différentes vies antérieures constituent le patrimoine spirituel et matériel avec lequel on arrive sur cette terre.
Nous naissons sur cette terre sans aucun souvenir de ces vies. Sans aucun souvenir nous empêchant de progresser. Tout souvenir serait un obstacle à notre évolution ici. On serait trop tentés de faire un choix en fonctions de nos actes et pensées passées.
On ferait mieux de s’occuper de nos actes et pensées immédiats, de cette vie. Il y a déjà assez à faire avec notre présent.
Moi aussi, il y a des moments où j’aimerais bien savoir ce que j’ai pu être par le passé. Moi aussi j’aimerais bien voir le décor de la France dans le passé….. J’aimerais voir le pays cathare tel qu’il était vraiment et non pas à travers des films.
Seulement voilà, on ne peut pas. On ne peut ni savoir ni voir ni découvrir ce qu’on a été. Si tant est qu’on est tous eu des vies antérieures….. Ca, ça reste à prouver. Surtout si j’en juge les séances de spiritisme….
Personne n’est une île déserte nous avons besoin des autres pour survivre
Personne n’est une île déserte nous avons besoin des autres pour survivre
Au début, ce fut le chaos.
La terre s’est mise à gronder et je fus arrachée, transportée, éloignée de mon père, de ma mère, du reste de l’archipel.
J’ai longtemps dérivé sur les océans sans fin.
Les tempêtes étaient fréquentes et encore aujourd’hui je ne sais comment j’ai pu m’en sortir sans me désagréger.
Puis ce fut le silence.
Les éléments se calmèrent.
Pas immédiatement : cela prit des milliers d’années, des ères peut être.
Je ne dérivais plus.
Je m’étais fixée sur une crête, au milieu des eaux puisque c’est mon milieu naturel.
J’étais seule.
J’avais eu le temps de pleurer toutes les larmes (salées) de mon corps de sable mais je goûtais maintenant la solitude.
J’avais été coincée dans le petit groupe d’îlots de mon enfance et j’avais souvent souhaité un cataclysme pour rompre cet attachement.
Enfin c’était chose faite…
J’étais seule et bien contente de l’être.
Les jours s’étiraient lentement au soleil.
Une barrière de corail s’était accumulée et protégeait ma grève des assauts de la mer.
Je me laissais dorer la côte.
Nonchalamment.
Les rares pluies suffisaient à combler ma verdure et la faune naissante en mon centre : des rongeurs, quelques invertébrés et beaucoup, beaucoup d’oiseaux.
Ils m’intriguaient : s’ils avaient pu voler jusqu’à moi en si grand nombre (certains jours, j’en étais couverte et leurs cris perturbaient mon sommeil tellurique), c’est que je n’étais pas si éloignée que cela d’une autre terre.
Peut-être même d’un archipel, comme celui de mon enfance.
Mais je me gardais bien de me détacher pour m’en approcher.
Je n’allais pas renoncer si facilement à ma quiétude.
Je me fiais ainsi aux éléments pendant des centaines, des milliers d’années encore jusqu’à ce qu’un changement dans le comportement des oiseaux m’alerte.
Moins de pépiements, moins de caquètements, moins de plumes, moins de graines, moins de nids, moins d’oeufs…
Moins d’oiseaux !
Mais pourquoi s’étaient-ils tous enfuis ?
J’ai mis un certain temps à comprendre que j’avais vieilli seule… et, hum ! pas très bien vieilli…
Ma faune m’avait fuie, parce que ma flore, plus aussi luxuriante que dans ma jeunesse ne suffisait plus à sa subsistance.
J’étais pelée, sèche, pas très avenante.
Mon appétit pour la solitude m’avait trahi.
Depuis quelques temps d’ailleurs, je me voyais partir : ma grève s’était rétrécie, mangée par le ressac que les coraux n’arrêtaient plus.
Mes cocotiers n’avaient plus de têtes… décapités par les cyclones !
La sécheresse avait tari mes sources.
Je devais faire piètre figure au milieu de l’océan.
Et maintenant que j’y songeais : aucun marin aventureux n’avait jamais foulé mes plages d’un pas conquérant.
Ah ça ! Je la payais chère ma solitude !
Papa, maman, mes chers frères, mes petits îlots chéris, où êtes-vous ?
Le chagrin était si fort que je résolus de partir à la recherche de mon archipel perdu.
Et même si je ne devais pas retrouver mes proches, je m’arrêterais au premier atoll que je croiserais… je leur demanderais de l’aide, je m’intègrerais sagement dans leur écosystème, sans faire de vagues, comme une gentille petite île du tertiaire que je suis.
Mais je devais apprendre à mes dépens qu’on ne se débarrasse pas de ses sédiments aussi vite. Malgré tous mes efforts pour m’arracher à mon milieu, je suis restée figée sur mon talus, rivée à ma crête.
En exactement 15 789 ans, j’ai bougé de 23 centimètres… et encore, pas par mes propres moyens : un tremblement de terre sous-marin.
Il paraît que ça arrive parfois.
Enfin, tous les 30 000 ans environ.
Alors j’attends. Seule.
……………………………………………………..
Personne n’est une île. Nous avons besoin des autres pour survivre.
Même si nous apprécions parfois l’éloignement et la solitude, nous restons des animaux politiques, c’est-à-dire des êtres qui s’épanouissent au milieu de leurs semblables.
Ceux qui renoncent au commerce des hommes finissent souvent comme cette petite île : ils ne sont plus ravitaillés, dépérissent, se sentent frustrés, tentent de vivre sur leurs propres ressources… et les épuisent.
Contre l’ennui, contre l’affaiblissement : ressourcez vous auprès de vos proches, amis ou famille.
club-positif.com
Posté sur le forum par Chanel
Je ne crois que ce que je vois comme Saint Thomas
Je fais comme Saint Thomas, je ne crois que ce que je vois
Sauf que lui, St Thomas il a vraiment cru…… Il a « eu », reçu, une forme de foi si forte qu’il n’a pas voulu douter davantage.
Mais lui doutait beaucoup moins que la plupart des gens.
Plus les gens ont de certitudes, plus il leur sera difficile de franchir ce pas.
Je ne crois que ce que je vois….. Ben non, c’est faux. Humain de peu de foi…..
On ne croit pas au point d’avoir une confiance totale, c’est faux. C’est d’ailleurs pour cette raison que Saint Thomas est devenu Saint, alors que nous, nous ne le serons jamais.
Cette révélation pour lui fut extraordinaire, transcenda tout ce qu’il avait accumulé de certitudes et d’habitudes.
Je ne crois que ce que je vois
Y’a plein de gens qui emploient cette expression. Oui, mais c’est une ineptie de plus. Nous serions toutes et tous dans une Foi profonde si on mettait cette expression réellement en application.
Des miracles, des preuves de tout existent partout, à tout moment.
Le doute est si important qu’on est persuadé de nos certitudes.
On veut croire que l’on voit, mais nous n’en sommes pas capables. Certes il faut avoir un jugement critique, mais peut-être pas au point de fermer les écoutilles