Vertus des pierres par le Marabout nouveau

Vertus des pierres par le Marabout nouveau Source: le Marabout Nouveau ( 🙂 )..qui est……….

En ma qualité de  » marabout nouveau  » Très souriant,  Je vous donne les vertus de quelques pierres assez souvent citées :

  • Ambre : Attribuée au chakra du plexus. Efficace contre les allergies , les infections respiratoires et les problèmes articulaires.
    Dans la bouche ( ne pas l’avaler…) elle calme les douleurs dentaires
    D’une manière générale, l’ambre aligne les corps physique, mental et émotionnel.
    ( essayer de prendre une pierre sans incrustations )
  • Oeil du tigre : Chakra du plexus. caractéristiques proches de l’ambre. Fortifie les os et les articulations, réduit l’essoufflement et l’asthme, calme les crampes.
    Permet de fixer un objectif, et de s’y tenir.
    Stimule ceux qui sont un peu faibles, et réfléchit le négatif vers celui qui l’a émis.
  • Pierre de lune : Chakra sacré. Pierre de la féminité, active l’énergie Yin, lutte contre la stérilité et favorise un bon équilibre hormonal et calme les douleurs du bas-ventre et favorise les montées de lait.
    Stimule l’imagination et l’intuition et évite certains délires.
    Développe l’activité spirituelle, particulièrement en lune descendante.
    Éviter de la porter en période de pleine lune car son énergie est trop amplifiée.
    Peut être aussi portée par les hommes, même en période de pleine lune. Elle développe l’énergie Yin qui leur manque.
  • Obsidienne : Chakra de base. plusieurs couleurs différentes, qui ont des actions différentes. La plus active semblerait être la noire, qui active la circulation du sang et fortifie le système osseux. Elle facilite la digestion et calme les ulcères à l’estomac .
    Agit comme un bouclier contre les énergies négatives, et attire fortement les forces spirituelles.
    Appliquée sur le chakra coronal, elle attire fortement les énergies spirituelles
    Son rayonnement est très fort : à ne pas donner aux enfants.
  • Cristal de Roche : c’est à la fois un récepteur, un émetteur, et un amplificateur. Bien utilisé, il permet de quasiment tout faire.
    Il faut d’abord le laver, puis le laisser 48 h dans du sel gemme et ensuite, le rincer abondamment en pensant fortement qu’il soit totalement et complètement purifié, on doit le prendre ensuite dans sa main gauche pour l’imprégner de sa propre énergie et de son aura.
    Il est conseillé de toujours le porter sur soi, dans une poche ou dans son sac, et de ne jamais le prêter.
    Il permet le ré-alignement des différents corps éthériques, enlève les blocages énergétiques du corps, et remonte le taux vibratoire.
    C’est un outil de méditation qui permet une bonne introspection en chassant les ténèbres que bien souvent l’on met soi même.
    Il peut également activer et renforcer d’autres pierres, en le posant simplement dessus pendant 24 h
    Il agit également sur les douleurs vertébrales, les problèmes d’intestin et d’estomac, de faiblesse des yeux et les maux de tête.

Devinez de qui c’est………………

Hum, Ptéros

Moi qui ne jure que par les seules vertus de la prière, me voilà bien.

Le Signe par Ptéros, texte de Ptéros

Le Signe par Ptéros, texte de Ptéros
angeblancPtéros, qui est déjà intervenu sur ce blog, et participe tellement sur le futur ancien forum, m’a envoyé ce texte par mail, me proposant de le publier. Il réagissait à un échange de commentaire que nous avons eu hier après-midi après ma publication de La Prière Je Vous Salue Marie Pleine de Grâces.
LE SIGNE

Son nez est légèrement déformé par le bord de la coupe de champagne qu’elle finit de boire, devant un petit gâteau au chocolat sur lequel est planté le chiffre 95…Cette photo a été prise au mois d’août dernier et c’est de ma maman qu’il s’agit.

Je la connais depuis 65 ans et pour elle, mes frères et moi avons toujours été « ses gosses »…

C’est curieux comme les parents voient toujours leurs enfants comme des gosses fragiles devant la vie, et ils restent persuadés qu’ils auront toujours besoin de leur aide pour s’en sortir.

Mes frères et moi, nous sommes pas mal débrouillés au cours de notre existence, et je dois avouer que j’ai moi aussi, tendance à considérer mes enfants, dont l’âge tourne maintenant autour de la quarantaine, comme des êtres désarmés que je voudrais soutenir, alors qu’ils ne me le demandent pas…

J’ai eu l’occasion d’expliquer à une amie, un jour où elle avait le moral au plus bas, que si elle considérait que son rôle dans la vie, consistait à mettre au monde ses enfants, et ensuite à les élever et à les aider pour qu’ils puissent un jour se débrouiller seuls, les chiens et les chats faisaient exactement la même chose, et pourtant ils n’étaient que des animaux…

Les enfants sont dès leur naissance, des entités à part entière, et s’ils ont besoin de nous pour vivre, cela fait partie du cycle de la vie, et ce n’est que provisoire, l’oiseau quitte son nid quand il sait voler, et les enfants devenus grands deviennent autonomes.

Nous devons alors vivre aussi, et nous occuper de nous-mêmes, notre vie ne doit pas être un éternel sacrifice. « Plutôt que de toujours donner du poisson à ton voisin, apprends-lui donc à pêcher… »

Nous vivons toujours comme si nous étions immortels, nous fêtons tous les ans dans la joie, la venue de la nouvelle année, sans penser que chacune de ces fêtes nous voit vieillir, et nous rapprocher de notre fin.

C’est lorsque nous commençons à penser à notre âge, que la vieillesse s’installe, alors n’y jamais penser est signe d’éternelle jeunesse, qu’on se le dise !…

L’horloge de la vie fait partie des attributs dont la naissance nous a doté : tout y est inscrit, et lorsque le moment est venu, elle ralentit sa marche, la fatigue arrive, le sourire disparaît, l’envie aussi, et le décompte s’enclenche, les organes commencent à ralentir, à faiblir, cela fait penser à l’atterrissage d’un avion : il réduit les gaz quelques centaines de kilomètres avant de se poser, le corps humain fait de même, il s’éteint peu à peu, comme le locataire d’un immeuble qui en descendant du dernier étage, éteint chaque étage qu’il quitte avant d’arriver au rez de chaussée qu’il quitte aussi, laissant derrière lui un immeuble sombre et désert.

C’est notre âme qui est chargée d’éteindre tous ces étages, et plus elle nous aime, plus elle le fait lentement pour ne pas choquer, pour ne pas brusquer, pour ne pas faire souffrir.

Après avoir fêté avec une certaine joie ces 95 ans, nous imaginions bien que cela ne durerait pas bien longtemps, le cycle de la vie ne permet pas lorsqu’on a la chance d’atteindre cet âge, d’espérer encore et encore… il faut raison garder biensûr, mais cela n’est vraiment pas évident , et lorsque quelques mois plus tard, l’horloge à commencée à faire entendre des tic tacs de plus en plus désordonnés, nous avons compris que le temps était venu, mais comme il est difficile d’accepter une telle évidence !…

On épie, on guette, on prie, on a peur …peur de la voir souffrir, peur de la voir mourir, peur de ne pas savoir comment cela va se passer, peur de notre propre réaction devant cette mort annoncée.

On tapote son oreiller, on recouvre une main qui dépasse, on guette son souffle, on épie ses moindre soupirs, on prie pour qu’elle ne souffre pas, on touche un front et des joues de plus en plus froides, des jambes glacées…

Et la fin arrive, les couvertures ne se soulèvent plus, le souffle qui les faisait lentement bouger s’est éteint, elle paraît détendue, enfin… Et notre chagrin et notre tristesse éclatent alors, nous savions pourtant, mais c’est notre mère, celle là même qui nous a veillés quand nous étions malades, celle là même qui nous courrait après, pour que nous fassions nos devoirs, celle là même derrière laquelle on s’abritait, pour éviter les corrections méritées de notre père.

Une mère ne s’oublie jamais, et je plains très sincèrement ceux qui n’ont jamais connu la leur. C’est toujours elle que nous appelons quand nous souffrons, quand nous sommes malades, quand nous avons peur, et cela même quand nous sommes « grands «…. Un jour j’ai entendu mon père dire « maman !… » Alors qu’il était très malade, cela m’a beaucoup surpris, j’avais cru qu’en vieillissant, on n’y pensait plus … Bien que je doive avouer personnellement l’avoir mentalement appelée plus d’une fois à la rescousse…

Alors qu’elle s’éteignait lentement, j’ai pris son maigre visage entre mes mains, et je lui ai dit : « maman, je t’aime ! » ses oreilles n’ont peut être pas entendues mais je sais qu’à l’intérieur, au plus profond d’elle-même, j’ai été entendu et aujourd’hui, j’enjoins tout le monde à dire ce « je t’aime » sans retenue, à tous les gens qu’ils aiment, ce sont des mots que l’on ne dit jamais assez, il ne suffit pas de le penser, ou d’imaginer qu’il est inutile de le dire parce qu’ils le savent… fausse excuse !… il faut le dire sans retenue , encore et encore…

Alors qu’elle reposait enfin libérée, j’ai inventé une prière pour elle, j’ai d’abord remercié son ange gardien, de l’avoir si peu faite souffrir car après plus de 95 années de vie, sa lente agonie ( doit-on appeler cela comme ça ?…) n’a guère durée plus d’une semaine, il faut savoir que j’avais aussi, longuement prié chaque jour pour qu’elle ne souffre pas, et pour cela aussi, j’ai remercié cet ange, puis j’ai demandé à son âme de se réjouir de pouvoir monter au ciel pleine des souvenirs de cette longue vie terrestre .

Lorsque mon père nous a quitté, il y a plus de trente ans, j’ai eu pendant plusieurs semaines, l’impression de l’apercevoir au détour d’une rue, ou dans le parc, et j’ai placé ces visions sur le compte de mon imagination, bien qu’on m’ait dit que cela arrivait souvent, et que c’étaient des clins d’oeils que nous faisait leur âme.

En priant comme je l’ai fait pour ma mère, et à la lueur de l’expérience que j’ai acquise durant de longues années de lectures, de discussions et d’observations, j’ai bien des fois eu l’impression que je n’étais pas seul, et bien que j’en aie reçu assez souvent quelques témoignages me confirmant cette pensée, j’étais persuadé que je recevrais un signe qui me donnerait raison.

Cette nuit, je me suis réveillé vers 5 heures, c’est l’heure de la mort de maman, et vers 6 heures alors que j’essayais de me rendormir, je me suis senti envahi par une odeur de parfum : celui que distribue le petit appareil qui était dans sa chambre. J’ai ouvert les yeux, je ne rêvais pas, l’odeur était bien là, alors que nous n’utilisons pas de vaporisateur à la maison, je l’ai humé, je l’ai respiré pendant une a deux minutes … une éternité … Je planais de bonheur… Ma maman était là… Mais était- ce bien elle ?… Ou peut-être son ange, ou plutôt son âme qui vagabondait, qui venait me faire un petit coucou, pour me dire qu’elle avait bien entendu mes prières, ressenti ma présence, et me donner en retour, ce signe que j’attendais tant.

Texte de Ptéros

Textes pour la mort d’un enfant, la mort d’un bébé

Pourriez-vous écrire ici des poèmes des textes pour la mort d’un enfant, pour la mort d’un bébé.
Ce serait bien de pouvoir aider les parents, les papas et les mamans dans cette douleur immense de la mort d’un enfant. Je connais deux mamans ici, qui ont connu ce drame.

Vous pouvez laisser vos écrits, vos textes, vos larmes, les mots qui ont accompagnés votre douleur. Merci d’avance pour tous les parents

Voici un texte de Victor Hugo, pour la mort de sa fille………
Ce poème de Victor Hugo, dédié à sa fille morte , a été lu aux obsèques d’une petite fille de 16 mois, en novembre 1991, par un ami de la famille.

UN PONT GEANT

J’avais devant les yeux les ténèbres.
L’abîme qui n’a pas de rivage et qui n’a pas de cime,
était là, morne, immense ; et rien n’y remuait.
Au fond, à travers l’ombre, impénétrable voile, je m’écriais :
« Mon âme, ô mon âme ! il faudrait, pour traverser ce gouffre,
où nul bord n’apparaît, et pour qu’en cette nuit jusqu’à ton Dieu tu marches,
bâtir un pont géant sur des millions d’arches.
Qui le pourra jamais ? Personne ! ô deuil ! effroi ! pleure ! »
Un fantôme blanc se dressa devant moi
et ce fantôme avait la forme d’une larme ;
c’était un front de vierge avec des mains d’enfants :
il ressemblait au lys que la blancheur défend :
ses mains en se joignant faisaient de la lumière.
Il me montra l’abîme où va toute poussière ,
si profond que jamais un écho n’y répond ;
et me dit : « si tu veux je bâtirai le pont ».
Vers ce pâle inconnu je levais ma paupière.
Quel est ton nom ? lui dis-je . Il le dit ; – « la prière ».
Victor Hugo

IL RESTERA DE TOI

Il restera de toi ce que tu as donné
Au lieu de le garder dans des coffres rouillés.
Il restera de toi de ton jardin secret
Une fleur oubliée qui ne s’est pas fanée
Ce que tu as donné, en d’autres fleurira
Celui qui perd sa vie, un jour la trouvera.

Il restera de toi ce que tu as offert,
Entre tes bras ouverts un matin au soleil.
Il restera de toi ce que tu as perdu
Que tu as attendu plus loin que tes réveils.
Ce que tu as souffert en d’autres revivra,
Celui qui perd sa vie, un jour la trouvera.

Il restera de toi une larme tombée,
Un sourire germé sur les yeux de ton cœur.
Il restera de toi ce que tu as semé,
Que tu as partagé aux mendiants du bonheur.
Ce que tu as semé en d’autres germera.

POUR LA MORT D’UN ENFANT

Rien qu’un petit mot
pour te dire que l’on ne t’oubliera pas,
que l’on se souvient toujours
de tes cheveux blonds,
de tes yeux bleus, de ton sourire radieux.

Rien qu’un petit mot
pour te demander de nous aider à surmonter
les rudes épreuves d’ici-bas.

Pour te supplier de nous envoyer,
du plus profond de ta victoire,
ce petit morceau de bonheur,
qui s’est perdu dans le labyrinthe de la haine.

Rien qu’un petit mot
pour t’implorer d’effacer les fissures
les injures, les obstacles, les incompréhensions
Pour te rappeler que l’on compte sur toi
que l’on a besoin de ta force, de ta foi

Enfin, rien qu’un petit mot
pour t’affirmer que l’on t’aime
que le plus grand palais, que le plus pur rubis
n’est, en comparaison, qu’éphémère beauté

Pierre Cocheteux

Et vous? N’hésitez pas à publier votre poeme, votre texte

Histoire véridique et authentique

Racisme, raciste? Cette scène a réellement eu lieu dans un vol de la compagnie British Airways entre Johannesbourg et Londres. Cette scène a réellement eu lieu dans un vol de la compagnie British Airways entre Johannesbourg et Londres.
Une femme blanche, d’environ cinquante ans, s’assied à côté d’un noir.
Visiblement perturbée, elle appelle l’hôtesse de l’air:
L’hôtesse : « Quel est votre problème, Madame ? »
La femme blanche : « Mais vous ne le voyez donc pas ? Vous m’avez placé à côté d’un noir. Je ne supporte pas de rester à côté d’un de ces êtres dégoûtants. Donnez-moi un autre siège, s’il vous plait!!’.
L’hôtesse : ‘Calmez-vous, presque toutes les places de ce vol sont prises. Je vais voir s’il y a une place disponible’.
L’hôtesse s’éloigne et revient quelques minutes plus tard……..
L’hôtesse ‘Madame, comme je le pensais, il n’y a plus aucune place libre dans la classe économique. J’ai parlé au commandant et il m’a confirmé qu’il n’y a plus de place dans la classe exécutive. Toutefois, nous avons encore une place en première classe’.
> >
Avant que la dame puisse faire le moindre commentaire,
l’hôtesse de l’air continue :

> >
> > L’hôtesse ‘Il est tout à fait inhabituel dans notre compagnie de permettre à une personne de classe économique de s’asseoir en première classe. Mais, vu les circonstances, le commandant trouve qu’il serait scandaleux d’obliger quelqu’un à s’asseoir à côté d’une personne aussi répugnante’.
L’hôtesse se tourne vers le noir et lui dit :
L’hôtesse ‘Donc, Monsieur, si vous le souhaitez, prenez votre bagage à main car un siège vous attend en première classe’.
> >
Et tous les passagers autour, qui, choqués, assistaient à la scène, se levèrent et applaudirent…
Cher frère blanc,
Quand je suis né, j’étais noir,
Quand j’ai grandi, j’étais noir,
Quand je vais au soleil, je suis noir,
Quand j’ai peur, je suis noir,
Quand je suis malade, je suis noir…
Quand je mourrai, je serai noir….
Tandis que toi, homme blanc….
Quand tu es né tu étais rose,
Quand tu as grandi, tu étais blanc,
Quand tu vas au soleil, tu es rouge,
Quand tu as froid, tu es bleu,
Quand tu as peur, tu es vert,
Quand tu es malade, tu es jaune,
Quand tu mourras, tu seras gris

> >
> >
Et après cela, tu as le toupet de m’appeler
« Homme de COULEUR » !

> >
> >
Si tu te bats contre le racisme renvoie ce message à tous tes amis, Mais n’efface pas ce message sans l’envoyer à au moins une personne !!!

L’essentiel est invisible pour les yeux de Saint Exupery

On ne voit qu’avec le coeur, L’essentiel est invisible pour les yeux d’Antoine Saint Exupery

Si on voyait l’invisible, on ne le supporterait pas. On ne peut pas le voir parce que nous ne sommes pas capables de supporter ce qui se passe dans la pièce d’à côté.

On ne supporterait pas de voir la réalité de ce qui nous entoure, de ce qui nous environne. On ne voit que ce qu’on est aptes à voir.
Il y a des gens qui voient des choses, mais pas tout. Ils voient ou entendent. Mais c’est très peu, sur très peu de temps.
La communication avec l’invisible, c’est comme tout, ça se travaille. Il n’est donné que ce qu’on est capable de supporter.

L’essentiel est invisible pour les yeux n’est pas une phrase à prendre à la légère.
Personnellement, j’aurais aimé rencontrer Antoine de Saint Exupéry.

Citations d’Antoine de Saint Exupéry

Faîtes que le rêve dévore votre vie, afin que la vie ne dévore pas votre rêve

Ce qui importe, ce n’est pas d’arriver, mais d’aller vers

Ce n’est point donner que de perdre

Si tu ne donnes plus, tu n’as rien donné

Ce n’est point être libre que de n’être pas

Fais de ta vie un rêve, et d’un rêve une réalité

Les grandes personnes ne comprennent jamais rien toutes seules, et c’est fatiguant pour les enfants, de toujours et toujours leur donner des explications

Droit devant soi, on ne peut aller bien loin

Le langage est source de malentendus

On ne voit qu’avec le coeur, l’essentiel est invisible pour les yeux

Les enfants doivent être indulgents avec les grandes personnes

Les enfants seuls savent ce qu’ils cherchent

N’espère rien de l’homme s’il travaille pour sa propre vie et non pour son eternité.

Lu aussi : n’attends rien de l’homme qui travaille pour lui-même et non pour le divin.

Aimer, ce n’est pas se regarder l’un l’autre, c’est regarder dans la même direction

La grandeur de la prière réside d’abord, en ce qu’il n’y est point répondu

Si tu diffères de moi mon frère, loin de me léser, tu m’enrichis

Si tu veux comprendre le mot bonheur, il faut l’entendre comme récompense et non comme but

Toutes les grandes personnes ont d’abord été des enfants, mais peu s’en souviennent

Ce n’est point dans l’objet que réside le sens des chose, mais dans la démarche

Pour ce qui est de l’avenir, il ne s’agit pas de le prévoir, mais de le rendre possible

Nous n’héritons pas la terre de nos parents, nous l’empruntons à nos enfants

Aimer, ce n’est pas se regarder l’un l’autre, c’est regarder ensemble dans la même direction.