Priere pour obtenir une guérison de malades, des guérisons

On souhaite légitimement et naturellement soulager les souffrances d’une malade

L’une des prières les plus efficace, est le Je Vous Salue Marie. Cette prière a des vertus incontestables et apportent infiniment plus que du soulagement.
Je comprends le scepticisme. Et c’est justement ce refus d’admettre l’impossible qui est Mère de pas mal de maux d’aujourd’hui.

Se tourner vers cette prière, même si on ne croit pas. C’est tellement important. On l’oublie tout le temps quand on estime que tout va bien. Et comme par hasard, parce que la situation devient difficile à vivre, on se dit: ah ben tiens, je vais penser à prier.
Alors que du soulagement avec la prière, on peut en apporter. Sauf que ce soulagement, cette demande de guérison, on ne doit pas la demander de façon trop visible. Le mieux est de le faire dans l’ombre. Surtout ne rien en dire, ne pas en parler.

Mais pratiquez-la, faites-la où vous voulez. On peut très bien prier même dans le métro, dans un magasin, ou n’importe où ailleurs. N’importe qui pourra confirmer mes dires. A condition de le faire régulièrement. C’est aussi simple et logique que de respirer.

Je sais que j’y fais allusion sur d’autres pages du blog-site, mais peu importe. Elle peut tellement apporter….. Ce texte de la prière « Je vous Salue Marie » n’est pas composé des mots dits à la messe. Je m’en explique sur d’autres pages, en liens depuis « lire aussi » au bas des articles.

Je vous salue Marie
Pleine de grâces
Le seigneur est avec vous
Vous êtes bénie entre toutes les femmes, entre tous les hommes
Vous êtes la Reine du Ciel, et de la Terre
Vous êtes la Reine de la Paix, et de tous les Saints (ce sont les derniers apports)
Vous êtes la Reine du visible, et de l’invisible
Et Jésus le fruit de votre Sein, est béni
Sainte Marie, Mère de Dieu
Priez pour nous, pauvres pêcheurs
Maintenant et à l’heure de notre mort
AMEN

Je voudrais savoir comment on sait si la prière est entendue

Si on prie souvent, avec ou sans demandes, on sait très vite si la prière, si la demande faite est entendue ou non

Il faut essayer de faire des demandes claires. Elles le sont souvent, juste, on se pose souvent trop de questions.
La nature humaine n’a plus voix au chapitre. On se pose tellement de questions qu’on ne voit plus les réponses, les signes.

Sinon, intérieurement quand on prie, il faut ajouter, souvent, que les chakras se réveillent à chaque fois. Les points sur la tête d’ailleurs ne se limitent pas à ceux que l’on voit sur les dessins que l’on trouve dans plein de livres. Ces dessins sont extrêmement shématiques. Les points sur la tête donnent ce qu’on voit sur la tête de la sculpture de Moïse faite par Michel-Ange à Rome. Plus ce qu’il ne pouvait représenter sur cette sculpture…..

Une fois que l’on sent ces points, les connexions avec l’invisibles, avec les invisibles sont établies. Ne plus se poser de questions. Mais quand on arrive à cette étape-là, on ne se pose plus de questions, on s’abandonne.

Je ne crois que ce que je vois comme Saint Thomas

Je fais comme Saint Thomas, je ne crois que ce que je vois

Sauf que lui, St Thomas il a vraiment cru…… Il a « eu », reçu, une forme de foi si forte qu’il n’a pas voulu douter davantage.
Mais lui doutait beaucoup moins que la plupart des gens.
Plus les gens ont de certitudes, plus il leur sera difficile de franchir ce pas.
Je ne crois que ce que je vois….. Ben non, c’est faux. Humain de peu de foi…..
On ne croit pas au point d’avoir une confiance totale, c’est faux. C’est d’ailleurs pour cette raison que Saint Thomas est devenu Saint, alors que nous, nous ne le serons jamais.
Cette révélation pour lui fut extraordinaire, transcenda tout ce qu’il avait accumulé de certitudes et d’habitudes.

Je ne crois que ce que je vois
Y’a plein de gens qui emploient cette expression. Oui, mais c’est une ineptie de plus. Nous serions toutes et tous dans une Foi profonde si on mettait cette expression réellement en application.
Des miracles, des preuves de tout existent partout, à tout moment.
Le doute est si important qu’on est persuadé de nos certitudes.
On veut croire que l’on voit, mais nous n’en sommes pas capables. Certes il faut avoir un jugement critique, mais peut-être pas au point de fermer les écoutilles

Béatification et canonisation béatifier et canoniser

Différences entre béatification et canonisation, que signifient béatifier et canoniser, signification de la béatification et de la canonisation

La béatification intervient avant la canonisation. C’est la première étape, sans laquelle une canonisation ne peut être prononcée.

Une personne décède et tous ses actes sont analysés, toutes les traces qu’elle a pu laisser lors de son passage sur terre font l’objet d’une véritable enquête. Et le Vatican ne plaisante pas du tout sur ce genre de procédure.
On parle de procès en béatification, ce qui donne une idée de l’aspect très sérieux de l’enquête engagée.
Procès parce que la personne aura un avocat pour la défendre et un autre, dit à charge, comme dans un procès en justice tel qu’on les connait en France par exemple.

Donc, la béatification prononcée, la personne reçoit l’appellation de « Bienheureux, Bienheureuse »
Ainsi, par exemple, Jean-Paul II a pu, de son vivant, accélérer la béatification de son amie Mère Térésa. Il savait qu’il ne pourrait la faire canoniser de son vivant, tant la procédure est longue et d’une très grande complexité

La canonisation aboutit à l’état de Sainteté. La personne rejoint le cortège de Saintes et Saints recensés dans le monde chrétien.

Il y a eu des canonisations controversées, et d’autres qui n’ont jamais aboutit. Peu importe pour qui.

Il faut des actes miraculeux dans la vie du défunt. Or pour obtenir le qualificatif de miraculeux, l’Église catholique a besoin de plus de données qu’un être humain ne peut en fournir.

Il suffit de voir avec quelles difficultés, les miracles de Lourdes sont de temps ne temps reconnus. Le diocèse a reconnu qu’un certain nombre de cas auraient pu être reconnus comme miraculeux, mais que les critères de l’Église étaient tels, que c’était bien difficile à démontrer.

C’est ainsi que certaines Saintes et certains Saints n’ont été canonisés que des centaines d’années après leur mort.
Quand on voit le peu de traces qu’il peut y avoir de la vie de quelqu’un ayant vécu il y a des centaines d’années, si on compare avec toutes les traces d’aujourd’hui alors que cette canonisation est presque aussi longue. Ce doit être une fameuse enquête pour une existence remontant à 300 ou 500 ans….

Source wiki: Une béatification n’aboutit qu’après une longue procédure (ou ‘procès’) préparatoire, mise en route par l’évêque du lieu où est décédé le candidat, et soutenue par une dévotion populaire, avec appel de témoins – favorables ou contraires – et examination des écrits. Le tout doit être confirmé par un miracle obtenu par l’intercession céleste de la personne concernée.
Selon l’article 9a des Normes pour la cause des saints (Novæ leges pro causis sanctorum), promulguées le 7 février 1983, les évêques doivent attendre cinq ans après la mort de la personne concernée avant d’introduire sa cause, afin que l’émotion n’entre pas en ligne de compte.
La Congrégation pour les causes des saints a promulgué en 2007 la version actuelle des règles à suivre pour l’enquête diocésaine.
La plupart des théologiens ne considèrent pas la béatification comme une déclaration infaillible de la part du pape, contrairement à la canonisation.
La déclaration de béatification se fait lors d’une cérémonie eucharistique solennelle, après la lecture du texte d’Évangile. Aucun rite liturgique particulier n’y est attaché.
Le pape Jean-Paul II a, lors de son pontificat, modifié considérablement la pratique de la béatification. Jusqu’en octobre 2004, il a béatifié 1340 personnes, soit plus que l’ensemble des béatifications effectuées par ses prédécesseurs depuis le pape Sixte V, qui établit une procédure de béatification similaire à celle en pratique aujourd’hui. En outre, Jean-Paul II a introduit lui-même une cause en canonisation, ce qui permet d’écarter la réserve des cinq ans : mère Teresa fut en effet béatifiée (en 2003) seulement six ans après sa mort (1997). De même, le pape Benoît XVI a autorisé le début du procès en béatification de Jean-Paul II avant les cinq ans.

https://www.tarot-numerologie.fr/blog/2011/01/14/beatification-de-jean-paul-ii-va-etre-beatifie-bienheureux/

L’apocalypse de Saint Jean ne décrit pas seulement le jugement dernier

L’apocalypse ne décrit pas, comme l’idée ultra-répandue veut bien le laisser penser, le jugement dernier par lequel passerait l’humanité.

Non, l’apocalypse vu par Saint Jean, les visions de l’apôtre n’est autre qu’une parfaite métaphore d’une phrase très récemment travaillée sur ce site: tout est écrit d’avance.
En l’occurence, sont réunis dans cet apocalypse, toutes les formes possibles de jugement. Sous quelques formes qu’ils se présentent, le fait de juger, est inscrit depuis le début.

Les visions de l’apôtre de Saint Jean sont les éléments qui composent chaque fait possible de jugement. Chaque élément, chaque forme ayant une signification.
Chaque forme correspond à un phénomène.

Certains jugement reviennent, toujours à intervalles réguliers. D’autres ont d’autres buts.
Tout étant une question d’interprétation, on peut tout décortiquer et en déduire telle ou tel éventualité.

Bien pour ça qu’il y a tant de prédictions et autres prémonitions possibles