Catégorie : Réflexions

Mon témoignage sur l’allaitement, je voulais allaiter. Je ne juge rien du tout, c’est juste mon témoignage

Il ne m’est jamais venue à l’idée de donner un biberon à mon bébé. Même bien avant de donner le sein à mon enfant. Ca me semblait être la plus simple des choses. La Nature a donné des seins pour nourrir. Elle a donné des seins, sous quelque forme qu’ils soient à toutes les mères de la nature. Mis à part les situations où toute forme d’allaitement est impossible, pour autant de raisons qu’il y a de situations.

La naissance de mon fils ne s’est pas bien passée du tout. Vous me direz que ça n’a fait que participer à mes motivations pour l’allaitement…. Si ça peut faire plaisir ; mais que neni pour moi.

Je réalise là que je n’avais même pas acheté un biberon avant sa naissance, alors que pour le reste, c’était fait.

Donc, la naissance a aboutit à une césarienne qui n’avait même jamais été évoquée…. Je passe les détails. Le début de l’allaitement, ce n’est pas la peine de mentir, fut une vraie bataille, un combat.

D’une part, avec mon bébé. Il semble que le mécanisme dans le sein soit compliqué à mettre en place, en action.

D’autre part, parce que je ne savais pas être tombée dans la seule clinique, ou presque du département, qui d’une certaine manière, empêchait les femmes d’allaiter. Disons que les fabricants de lait artificiels étaient des sponsors pour le moins très actifs dans cet établissement.

Voilà le dessin qui m’a été fait (m’enfin, moi c’était au crayon sur une feuille blanche). On m’a montrée qu’il fallait enclencher les grappes.

Résultat, tout le séjour a la clinique fut un combat la nuit, pour, d’une part, empêcher que le personnel emmène mon bébé (pour me laisser dormir). D’autre part, batailler une bonne partie de la nuit pour qu’il tête.

Je ne savais pas que ce serait une telle bataille.

15 jour de clinique, et, rentrés chez nous, tout est rentré dans l’ordre, comme par miracle.

Il faut préciser que j’ai écris tout ce qui se passait. Et, une fois à la maison, j’ai tapé tout le texte à la machine. C’est une partie de la thérapie. Le reste se fait tout seul, dans le temps. A moins de tomber sur une amie ou sur un psy qui est aussi passé par là. Je ne vois pas comment en parler à quelqu’un qui n’a jamais connu un tel défit.

J’ai allaité mon bébé pendant 13 mois et demi. J’avais tellement de lait, que dès la clinique, on a fait venir le lactarium. Je me suis transformée en vache allaitante. Mais l’expérience marque à jamais. J’ai donné pendant 6 mois du lait au lactarium. Il m’a été proposé de venir voir l’usage qui en était fait auprès des grands prématurés. Je n’ai jamais accepté.

Convaincue que je n’aurais pas supporté de voir de telles scènes.

Extraordinaires sont les liens ainsi tissés entre la maman et l’enfant.

Il faut alors laisser cependant une grande part au papa. Parce que l’allaitement, à mes yeux, est un lien de plus, et celui-ci ultra-fort entre la maman et le bébé. Le papa doit tenir une place plus importante dans cette période. C’est indispensable

Voulez-vous, vous aussi, laisser votre témoignage sur cette expérience. Je la mettrai en ligne, tout comme les textes et poèmes sur ce site.

La prière est le canal vibratoire et invisible le plus efficace pour être en contact avec les entités. On retrouve ainsi la spiritualité, le spiritisme et le medium réunis dans une ou plusieurs personnes.

Les véritables Guides dans l’invisible ne viennent pas s’ils ne sont pas appelés avec des véritables prières, de véritables, de vraies intentions intérieures.
La prière et les pensées jouent un rôle essentiel et primordial dans une séance de spiritisme.
Trop peu d’expérimentations de spiritisme se déroulent dans des conditions idéales.

Sans ces deux données, rien de sérieux, rien de crédible ne peut en sortir.
Si par exemple, les seules motivations des participants à ces séances, sont de savoir leur évolution purement matérielle, un gain au loto ou s’ils peuvent faire tel ou tel stage ou formations. Ca n’intéresse personne et on ne voit pas pourquoi ça interesserait les Guides.

J’entends par là que les Guides sont également là pour ces demandes. Là n’est pas le problème. Ils sont là pour toutes les demandes, sauf que les demandes ne sont jamais désinteressées.

La spiritualité intense mène naturellement à la médiumnité, et donc au spiritisme. La prière la plus intense, surtout si elle est travaillée, exactement comme tout muscle de l’organisme, apporte des extases d’une intensité que les mots seuls ne peuvent décrire.

On ne peut mettre des mots sur des vibrations. Or, la prière n’est que vibrations.
Impossible de décrire ces sensations. Il faut les vivre pour comprendre.

On ne se pose pas de questions, aucune question dans cet état d’âme, c’est le cas de le dire là. On sent des présences autour des soi. les animaux qui nous sont proches les sentent aussi, à leur manière.

Un Guide peut être un Ange, un parent… Peu importe. En état de prière intense, on se sent naturellement en contact très présent avec l’invisible. Quand la quête est désinteressée, mais uniquement guidée par cette motivation si j’ose dire, d’être en contact plus « direct » avec des entités.
Peu importe qui est là, s’il y a un ou plusieurs anges, si même ce sont des anges.
Ils sont là pour nous guider.

Les vibrations les ont appelés et ils arrivent tout de suite. Plus on prie intérieurement, plus ils sont souvent avec nous.
Personnellement je cherche très souvent ces connexions. Je me sens seule si je ne les ai pas.

J’ai peur de ce qui m’attend, je me pose plein de questions. On se pose plein de questions. On a peur de ce qui nous attend

On ne devrait pas tous être inquiets de la même manière. D’ailleurs, logiquement, on ne l’est pas tous de la même manière.

Y’en a qui sont inquiets pour leur boulot, d’autres se demandent s’ils vont enfin avoir le bébé tant attendu….

Heureusement si j’ose dire qu’on n’est pas tous inquiets sur le même plan, ni sur les mêmes sujets. Sauf qu’on ne manque pas de sujets d’inquiètudes.
Et puis, chaque jour amène son lot de sujets possibles.

Faire un enfant, ne surtout pas s’arrêter à la peur que l’on a. Je sais que le climat n’a rien de rassurant, mais faire un bébé, c’est lui permettre de vivre ce qu’il a à vivre.
Ne prenez pas comme excuse le climat de crise. Votre enfant n’est pas et ne sera pas concerné par cette crise. Il vivra tout à fait autre chose.

Chercher du travail. Ne surtout pas s’arrêter. Je soupçonne certains de prendre la crise comme prétexte pour stopper leur activité ou leur expansion.
J’ai lu ou entendu récemment, à la télé, que les riches faisaient attention. Que les riches ne dépensaient plus à tort et à travers. Les journalistes pourraient faire un peu plus attention avant de sortir des âneries.

Faire construire. Ne pas s’arrêter de vivre. Si vous pouvez faire construire, allez-y. Ce n’est pas parce que vous serez à la rue que ça fera avancer les choses. Il me vient là que les constructions individuelles isolent les gens. Ces maisons seules sont aussi isolées que leurs occupants. Elles permettent un peu facilement de se replier sur soi-même. Du moins pour certaines personnes, elles peuvent paraître comme une solution de facilité

Demander un crédit à une banque. Heu, là, doucement, parce que les banques sont faites pour prendre votre argent. Comparer, c’est une chose. Mais pour un service donné, si une banque est moins chère qu’une autre, un autre service sera plus chère.
Les banques se valent toutes.

Ne pas s’arrêter de vivre, loin de là. On peut en plus, toujours rebondir. Il y a toujours des moyens de s’en sortir. Toujours. Il faut aller voir ailleurs. On est cloisonnés dans nos petites vies et nos petites idées étriquées.
Allons un peu prendre dans nos ressources.
On en a plein.

Je sais ce que j’ai écris avec la numérologie. Mais ça n’empêche pas de vivre. Encore heureux.

J’aimerais bien savoir comment, avec quels médicaments, avec quelle technique chirurgicale, Rachida Dati, parvient-elle à être en tailleur sérré, juchée sur des talons aiguilles, 5 jours après une césarienne?

Je sais que ce n’est pas une question hyper existencielle. Mais il doit avoir une chirurgie qui permet de pouvoir gambader 5 jours après une césarienne. Il doit y avoir des techniques médicales qui permettent semble-t-il de sortir de la clinique aussi vite.

Ya pas mal de maman qui vont vouloir le même traitement!!!!

Les femmes d’affaires ou mêmes les mannequins. Quand on voit ça, je me dis maintenant que les mannequins ne vont plus être interdites de tomber enceintes!!!
Si 5 jours après une naissance, la fille est capable de « remettre les couverts » sur des talons aiguilles. Ben chapeau.
Sacrée ouverture pour pas mal de filles.

Où sont les trucages pour Rachida Dati?
Il y a de quoi se poser pas mal de questions?
Donnez-nous la recette s’il vous plaît. Je pense qu’il y en a pas mal que ça va interesser.

Moi perso, même au bout de 15 jours, c’était pas la peine d’essayer les talons aiguilles. Mais moi, ça fait 15 ans.
Les techniques ont évolué…