Nuage de cendres volcaniques: quels risques pour notre santé

Nuage de cendres volcaniques: quels risques pour notre santé? Il est plus que probable qu’on ne réalise pas plus son passage au-dessus de nos tête que pour celui de Tchernobyl en 1986. Surtout, dans les villes, où la pollution est déjà importante par défaut.
Donc, après le fiasco médiatico-industrielo-…..du vaccin H1N1, il n’y a pas de raisons de paniquer.

En 1986, on n’aurait rien vu à la télé, qu’on ne saurait pas plus que ça où est passé le nuage. Des nuages dans le ciel, des particules dans le ciel, des particules dans l’air………… il y en a, depuis longtemps.
Il y en a même en grosses quantités dans tous les endroits où des usines déversent leur flot de rejet tant dans les eaux que dans les airs.

On continue de se baigner dans une mer polluée, parfois pas loin de lieux de décharges. On continue de respirer, partout. Ce n’est pas ce genre de nouvelles qui fera bouger plus que ça.

Je pense à un truc là: et des masques???. On peut peut-être ressortir les masques dont on nous a bassiné pour la grippe porcine de la fin 2009…………….!!!!!

Juste, ils n’ont pas eu le temps d’en fabriquer comme ils avaient fait fabriquer des centaines de milliers de lunettes de protection pour l’éclipse de lune d’août 1999.

Souvenirs souvenirs!!!

Il ne peut pas comprendre elle ne peut pas comprendre

Il ne peut pas comprendre elle ne peut pas comprendre

Un pharmacien est devenu vendeur, devant moi, récemment pour vendre une cigarette électronique. Il parlait avec des arguments de vendeur, certes.
Mais des arguments de vendeur qui ne sait pas de quoi il parle.
Ce vendeur cherche à vendre une cigarette électronique à un client qui lui dit juste, être fumeur. Certes.
Mais sauf qu’au bout d’un moment pendant lequel on a entendu tout son blabla, je lui ai posé une question:

« Je crois que vous ne parlez pas la même langue que la personne qui vient vous acheter cette cigarette. J’ai l’impression que vous ne fumez pas monsieur.
« non en effet….enfin, je me contente d’une cigarette de temps en temps et….. d’un cigare à la fin des repas…. »
Il est gêné de me donner cette réponse.
Pourtant, je sais que j’ai raison: il tente de vendre un truc, sans avoir la moindre idée de ce que le client endure pour essayer au moins de limiter la cigarette.

Un non fumeur ne peut pas comprendre la dépendance d’un fumeur, à moins d’y être lui-même passé.

Il en est de même pour un psychologue ou pour un médecin….. :happy:

Un psychologue ne peut pas comprendre ce qu’un patient-client vient lui dire, s’il ne l’a jamais vécue lui-même l’expérience.

On n’est jamais mieux placés pour en parler que quand on l’a vécu…. :whistle:

Idem, pour un médecin. C’est ce que reconnait récemment un médecin ayant écrit plusieurs livres, et notamment sur le cancer. Il reconnait totalement qu’il est beaucoup plus facile de parler avec le patient depuis qu’il a lui-même traversé l’enfer de la maladie.

Comment plein de gens peuvent-ils parler de ce qu’ils n’ont jamais connu….

La douleur de voir un être aimé s’en aller chaque jour davantage

Un ami qui m’est très cher est atteint d’une maladie dont on peut dire, là, qu’elle est incurable.

Cet ami, ainsi que son épouse, je les connais depuis relativement peu de temps. Mais un lien si fort s’est noué, que c’est comme si je les connaissais depuis très longtemps
L’intensité quelques fois d’une relation peut atteindre une forme d’Amour.

J’aime ce couple d’amis, c’est incontestable.
Depuis quelques temps, nous avons appris que la maladie avait avancé, bien plus qu’on ne pouvait l’imaginer.
On en arrive à le regarder différemment cet ami.

J’étais hier soir avec eux, juste avant leur diner.
Je suis très proche de son épouse, et je me suis aperçue qu’on ne lui parlait pas comme d’habitude, comme pour lui dire: essaie de tenir, on est là, on t’aime.

Les larmes coulent là parce que les résultats des derniers examens ne seront communiqués que si c’est grave.
C’est ce qui lui a été dit à l’hôpital.

Nous faisons lui et moi partie de la même chorale. Jusqu’à il y a quelques jours, il chantait un peu, puis s’arrêtait, disant qu’il n’en pouvait plus
Mais depuis ces derniers jours, il n’arrête pas, comme s’il se lâchait, comme s’il jetait ses dernières forces dans ce qu’il aime.
Même ça, on ne l’entent plus comme avant.
On y fait beaucoup plus attention.

La médecine tente tout ce qu’elle peut pour au moins freiner l’évolution de la maladie.

Même là, j’écris en ayant peur que le téléphone sonne. J’ai demandé à son épouse de m’appeler 24h/24 s’il y a quoi que ce soit.

C’est pas évident d’être à l’écoute

Il y a quelques minutes de ça, j’ai croisé un ami. Je sais parfaitement qu’il est très malade. Je fais partie des nombreuses personnes qui tiennent beaucoup à lui. J’étais en voiture, je me suis arrêtée en le voyant. Il me semblait logique d’aller lui faire un gros gros bisou.

Il n’avait pas l’air bien du tout. Je lui en parle et il me répond qu’en effet ça ne va pas du tout. Il n’a pas dormi depuis 3 jours, les médicaments lui font, d’après lui, plus de mal que de bien.
C’est pas le problème.
Ça se voit tellement qu’il ne va pas bien.

La veille, je suis passée pas loin de son épouse que je connais et apprécie tout autant. Mais je ne me suis pas arrêtée hier. Je l’ai vue, dans le rétroviseur, me regarder m’éloigner….Maintenant, je pense que je sais pourquoi elle m’a tellement regardée.

Sur le coup hier, j’ai regretté de ne pas m’être arrêtée. Je les aime beaucoup. Ils le savent très très bien.

Là, j’étais au milieu de la rue, mais c’était pas grave là. Et puis, il était tellement fatigué, que je me doutais que nous ne passerions pas une heure à discuter.
Il allait passer un scanner pour un problème d’oeil et faire de la chimio cette après-midi. Il y va avec une de ses filles, parce qu’on ne sait jamais: s’il a un malaise. Il faut s’attendre à un malaise n’importe quand.

Il m’a dit qu’il ne passerait pas une autre nuit, comme cette nuit. Il m’a aussi dit que d’ici huit à 10 jours, il ne serait plus là.

Je venais de pas mal prier. Donc mon état d’esprit était au calme. Là, je n’ai pas quitté ce calme, mais le contre-coup ne s’est pas produit. Je suis restée sous le choc. J’avais, avant de le voir, l’intention de rentrer et de me mettre au dodo. Chose rare: ça m’a coupée l’envie de dormir.

Je ne pense qu’à ce qu’il m’a dit:  l’impression qu’il m’a annoncé son très prochain décès avec la date en prime.

…………………………… :unsure: Mis à part prier, je ne vois pas du tout ce que je pourrais faire. Vous feriez quoi vous?

Manger des oranges le soir Ca n’empêche pas de dormir

Manger des oranges le soir n’empêche pas de dormir du tout.

Combien de fois j’ai dis à mon fils: mais arrêtes de manger des fruits le soir, tu ne dormiras pas.

Jusqu’au jour où j’ai vu une interview dans un reportage. Interview d’un médecin auquel on demandait si cette idée reçue, comme pas mal d’autres d’ailleurs, était une idée reçue, d’où son nom, ou une évidence médicale.

Le fait de manger des fruits le soir, que ce soit une orange ou n’importe quel autre fruit, auquel on attribue en plus, un peu plus de vitamines qu’il n’en a réellement, empêche-t-il de dormir?…..

Il vaudrait mieux manger des fruits avant d’aller au dodo, que de regarder un film d’horreur ou violent. L’inconscient emmagasine ces dernières images et n’a presque pas le temps de les digérer, qu’il doit fermer les yeux. Fermer les yeux sur des horreurs, fussent-elles cinématographique, que non merci.

Pour que le fait de manger des fruits le soir empêche de dormir, il faudrait absorber suffisamment de fruits, pour que les vitamines comment à agir sur le cerveau. D’un point de vue médical, il faut manger au moins 1 kilo de fruits pour avoir un début de mécanisme dans le cerveau.

1 kilo d’orange, ce serait environ 4 ou 5 oranges, tout de même. Et en kiwis, qui contiennent au passage plus de vitamines que les oranges….environ 5 ou 6 kiwis, si ce n’est pas plus
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