Mickael Jackson, c’était presqu’un accident

Le décès de Mickael Jackson est dû à un horrible accident

La frontière est très mince. Il aurait tout donné pour ne pas en arriver à cet état de tension dans lequel il était. Il ne voulait pas d’une telle tournée. Juste un peu de concerts, mais pas pour couvrir toutes ses dettes.

L’accident était pour ainsi dire inévitable, tant les limites ont été franchies souvent. Il y en a qui ne dorment plus comme avant depuis ce jour-là. Chacun savait les risques pris. Parce que même si les médicaments pouvaient provoquer un accident, il ne le refusait pas.
Quand on est désespéré, on est prêt à tout.

Internet permet de tout dire tout voir tout lire

Je peux tout dire tout voir tout lire tout écrire aussi, sur la toile, sur le net, sur le web
Qu’on soit timide ou non, qu’on soit moche ou pas, qu’on soit riche ou pauvre, qu’on soit tout ce qu’on veut. On peut tout faire. Y compris laisser des appels au secours. Y compris lancer des menaces de tout et n’importe quoi. On est tellement libres sur internet, qu’il y en a qui ont peur d’être lu.

J’ai la poisse c’est pas possible

Ce truc me porte la poisse, c’est pas possible!
Impression que ce truc me porte la guigne, la poisse.
Mais je ne suis pas sûre que quoi que ce soit puisse porter la poisse à quelqu’un ou quelque chose.
Avoir la poisse. Rien ne va. Je suis persuadée que quelqu’un me porte la poisse. Je n’arrive à rien. Tout ce que j’entreprends foire d’une manière ou d’une autre.

Perso, j’essaie de suivre un conseil qui aurait été donné par Léonard de Vinci: s’écarter de son ouvrage pendant quelque temps pour y revenir avec des idées fraiches. Tout s’accumule.
A un moment ou à un autre, on trouve une solution

L’église ne respecte pas les dernières volontés

L’église ne respecte pas les dernières volontés du défunt Choqués nous avons été. L’incompréhension la plus évidente règne.
Pourquoi l’église impose-t-elle les mots et le déroulement des obsèques?

La douleur d’un tel moment est déjà si importante, du moins, quand tout le monde tient unanimement au défunt.
Très choquant franchement.

Notre ami avait demandé la chorale qu’il aimait tant. J’en ai pleuré d’entendre quelques unes de ses dernières demandes: la tenue de choriste pour partir et que la chorale chante.
La seule chose sur laquelle l’église n’est pas intervenue, c’est la tenue………………….

Mais pour pouvoir faire chanter la chorale et quels morceaux. Ça a été très dur. Un vrai champs de bataille.
Mais l’église a gagné une chose: plus personne ici, moi y compris, ne veut de messe d’obsèques.

J’espère juste pour moi que ça pourra quand même se faire dans l’église.

Mais la colère est immense là.

L’église est arrivée avec son livret, de textes complètements formatés, avec des pointillés pour indiquer le prénom. L’église a d’abord refusé puis a accepté, à cotre-coeur de laisser la chorale chanter à la fin pour la sortie.
Mais l’église faisait tellement la tête qu’elle n’a même pas annoncé le morceau. Elle a annoncé le précédent morceau, juste avant nous. Mais pour nous, l’église a fait comme s’il ne devait rien y avoir.

Je n’aurais jamais imaginé, jusqu’à maintenant, avoir de telles raisons de ne plus aimer cette institution. Maintenant j’ai des arguments.

Lamentable…………………….Vous en pensez quoi vous????

Après la mort, la souffrance ne part pas comme ça

Qu’il repose en paix, il ne souffre plus maintenant

Momentanément le défunt ne souffre plus, mais quelques temps après son décès, les différentes parties de ce qui constitue le corps ne réalisent pas forcément qu’elles ne sont plus reliés.
Je vais oser un parallèle avec un blessé qui vient de perdre une jambe. Un bûcheron par exemple, dans l’exercice de son métier, va avoir un membre coupé. Le blessé le dira lui-même: mais j’ai ma jambe, je la sens encore.

Elle n’y est plus, et pourtant il la sent.
Le corps c’est un peu similaire.

Si le malade souffrait en plus, il voulait partir, pour au moins ne plus avoir mal. Lui il veut, mais il est possible qu’une partie de lui-même ne réalise pas.

Mon père nous dit avoir encore mal au dos………………..Ça faisait 4 ans qu’il était décédé au moment où il nous indique cette situation. C’est dans les séances de spiritisme.

Cet ami, lui a beaucoup souffert aussi de tout le système respiratoire. Il étouffait. Très difficile à voir, à vivre. Bref, on en arrive à demander qu’il parte. Pour qu’il soit enfin soulagé de ses souffrances.
Voir quelqu’un dans une grande souffrance sans rien pouvoir faire……………… On se sent tellement impuissant………………

Pas évident d’exprimer ce genre de réflexions.