J’ai eu le plaisir de connaître Tohra Mahdavi compagne de Bernard Giraudeau
J’ai eu, le plaisir et, peut-être la chance, je ne sais pas, de connaître Tohra. Cette rencontre a été un électrochoc.
Donc, je comprends le coups de foudre de et pour Bernard Giraudeau. Dommage que je n’ai pas de photo de ces moments-là, vous comprendriez mon commentaire. A la voir, elle ne pouvait faire autrement que de faire un très beau mariage.
Une très jolie femme aura toujours, comme on dit, tout pour elle. C’était, de façon évidente, le cas de Tohra.
Je pense pouvoir avancer que Tohra Mahdavi a dû regretter certains engagements pris dans le passé. C’est pourquoi elle a été très heureuse avec Bernard Giraudeau. Même dans la maladie de Bernard Giraudeau, ils se sont accompagnés. Elle est dans une grande détresse aujourd’hui. Très grande détresse, parce que d’autres soucis très sérieux sont venus s’additionner à un moment de sa vie déjà bien difficile.
L’engagement pris par Bernard Giraudeau était très fort avec sa compagne, comme il l’a été avec Anny Duperey. Je pense avancer qu’il ne s’attendait pas à rencontrer une autre femme après le couple qu’il avait formé avec Anny Duperey.
Un coups de foudre, encore mois, il ne croit pas au coups de foudre. C’est pas son truc les coups de foudre, même s’il en a déjà eu, mais qu’il a du mal à l’admettre.
La peine aujourd’hui de Tohra est bien grande. Elle se sent bien seule dans cette grande douleur. Elle aura eu plus de larmes que de joies. Du moins, c’est ainsi qu’elle vit ce moment
Je viens de finir Cher Amour… cette lecture a illuminé mon Ete. Une telle sensibilite profonde et pure cest une splendeur et la femme qui a inspiré son écriture ne peut a jamais être triste car elle fleurte avec les anges..
Jaurais aimé écrire un tel livre.
Tous les marins amateurs de littérature de mer et de peintures marines se retrouvent avec une affection, une amitié profonde , une complicité immémoriale dans Bernard, cet Ulysse auteur-acteur , et quel écrivain, quel poète! Il sent le chanvre, l’étoupe, le calfat, la brise du large, la criste- marine, la tangue et le sable, les quais surchauffés…Un marin: ouvert et sans à priori. Ne lui manquait que la peinture, pas sûr qu’il n’y excelle non plus tant sa sensibilité était immense. A l’homme que j’ai côtoyé dans son pays rochelais sans jamais hélas l’avoir rencontré sur les quais où ailleurs. Les charentais en étaient fiers dès ses débuts, je ne me doutais pas alors qu’on avait de telles attaches et les mêmes racines, je suis de Granville…Merci copain.