Il faut demander à Dieu d’abord ensuite à son ange gardien.
Priez Dieu. Peu vous importe si un ancien apôtre ou un saint qui se trouvera de l’autre côté vous aide à ce que votre prière parvienne, vous n’avez pas à vous en occuper. (21-4-1903)
La prière seule ne peut nous sauver, mais elle donne prise à notre ange gardien pour nous conduire.
Il est nécessaire de prier souvent, avant le sommeil, au réveil, et enfin élever sans cesse notre âme vers Dieu. (23-2-1895)
Plus on va, plus on est frêle et plus il faut prier, parce que les attaques de l’ennemi sont plus nombreuses. Il est utile de prier, non pour alléger ses peines, ses souffrances, mais pour demander la force, le courage. Notre prière n’est pas toujours entendue, et c’est heureux, car, si Dieu entendait nos prières, elles l’offenseraient souvent.
Mais il est utile de prier parce que cela nous entretient en haleine. Cesser de prier, c’est ne plus pouvoir prier un jour.
Prions du fond du coeur car il est en nous des êtres insatiables qui s’abreuvent de la prière. (5-5-1902)
Si du fond du coeur part une prière, des êtres l’entendent. C’est le soleil pour eux, pour tout l’organisme. Si une mauvaise pensée nous empêche de prier, c’est un scandale pour ces êtres. (11-2-1902)
La prière élève l’âme et il faut prier non seulement pour nous, mais pour ceux qui ne peuvent pas prier, pour ceux qui sont dans les ténèbres. (21-11-1894)
Il faut prier pour ceux qui ne savent pas ou ne peuvent le faire. Point n’est besoin de prier pour les morts ; laissons-les où ils sont et restons où nous sommes. Je vous affirme qu’en demandant pour ceux qui ne peuvent le faire, en demandant de supporter leurs peines, vous leur donnez alors l’exemple de supporter à leur tour celles de leurs frères. C’est le seul moyen d’entrer dans le Ciel.(20-9-1 894)
L’oraison dominicale, qui nous vient du Ciel par le Fils, ne peut se prononcer sans que celui qui la dit du fond du coeur soit uni d’intention avec Notre-Seigneur.
La prière : Elle a été donnée pour certains êtres, ceux à qui on parlait et pour les encourager.
Elle est encore la prière de la plupart, et cela parce qu’il y a autour des hommes des êtres que nous ne voyons pas, qui sont là et que cette parole fait réfléchir.
Ce sont ceux qui nous induisent en tentation. Au moment où nous prions et prononçons cette phrase, eux qui nous tourmentaient comme nous nous taquinerions un enfant, se ressaisissent et se disent : Pourquoi nous amuserions-nous à faire du mal à ce petit?
bonsoir à tous,
Ce n’est pas facile de nos jours de dire,voilà,j’ai vu mon ange gardien.Quand on essaie d’en parler,c’est toujours à peu loufoque.
C’est pour celà,je préfère de m’exprimer par mes mots.
C’était en 1997,un soir d’été,à l’époque,j’avais 22 ans.Je travaillé en tant que serveuse dans un petit bistrot,un jour sur deux,je fesais la ferme.C’était en plein centre ville,mais là,ou je travaillé,c’était derrière le marcher couvert,à la place de chambre.Le café y est toujours actuel.Mais à cette époque,cette place était desserte àprès 22 heures,c’est pour celà qu’à 22 heures 30,je fermais le bar,bref.
ce soir là,je terminais comme toujours mon service,je verrouillais la porte à clef,à fin de me sentir en sécurité pour pouvoir compté ma caisse,j’examinais le reste des taches à accomplir.Une fois que tout est en ordre,je téléphonais à mon compagnon de l’époque,de venir me récupérer.Deux à trois coup de file,personne ne décrochait.Surtout à dans ce temps,les portables n’existaient pas.A force d’impatience,je sortais du bistrot pour fermer les volets et mettre la clef sur la porte.
D’un geste à l’autre ,je tirais les volets,et au moment j’arrivais vers la porte principale,et là,se dressait devant moi,un homme innatendu ,grand ,très grand,je dirais qu’il fesait au mois 1 m80,un grand brun,beau qu’il était.Il était là devant moi,les bras croisé juste devant la porte du café.il m’avait surpprit,car je m’attendais pas,il m’a regardé droit dans les yeux,comme si on se connaissait.Je n’ai pas eu peur,mais plutot surprise.Je le regardais avec les grands yeux ouverts,au moment o`u je lui posais la question,en clignant mes yeux,une fraction de seconde,il avait disparu.je n’avais rien compris,je me retournais pour le chercher,mais en vain,je ne savais plus,si j’avais révé.Pourtant,il avait l’air bien réel.Ma question,c’était quest-ce que vous fesiez là?.Je n’avais meme pas le temps de terminer ma phrase,et en meme moment,mon ami est arrivé.Devinez comment il était habillé ce soir là en sortant de la voiture,il était tout en jeans,comme l’homme à qui je venais de voir.C’était vraiment incroyable,cette expérience d’un soir d’été,je ne saurais vous dire qu’est qu’il pourrait bien m’arriver si mon ange gardien ne serait pas là.Si un jour ,si Dieu me permettra à nouveau,je lui dirais tout simplement merci.